ISACK ET VICTOR ONT CONFIRMÉ LEUR STATUT DE FAVORIS LORS DE L’OUVERTURE DU CHAMPIONNAT DE FORMULE 2, MAIS ONT ÉTÉ MAIGREMENT RÉCOMPENSÉS DE LEURS EFFORTS. AVEC UNE PREMIÈRE LIGNE ET UNE 4E PLACE, ISACK HADJAR A LIMITÉ LES DÉGÂTS À SAKHIR, ALORS QUE VICTOR A ÉTÉ TRAHI PAR LA MÉCANIQUE.
LES FAITS MARQUANTS :
* Isack a signé le 2e meilleur temps des qualifications
* Il est remonté de la 9e place de la course sprint jusqu'aux portes du podium
* Percuté, il a abandonné au 1er virage de la course principale
* Handicapé par ses pneus, Victor n'a pu conserver le podium qui lui tendait les bras dans la 1ère course et il a abandonné dans la seconde, sur problème électronique
RALENTIS EN SPRINT
Isack Hadjar et Victor Martins ont été parmi les meilleurs élèves de la rentrée des classes de la Formule 2 sur le circuit de Sakhir. Les espoirs nés d'une première année pleine de promesses et d'essais hivernaux rondement menés ne se sont malheureusement pas concrétisés pour les deux pilotes de l'Equipe de France FFSA Circuit.
Qualifié à la 2e place, Isack est parti de la 9e position de la grille inversée et a dépassé de nombreux adversaires pour remonter à la 3e place. Ses pneus ont malheureusement payé le prix de sa chevauchée et ont souffert de dégradation en vue de l'arrivée et Isack a finalement buté sur la dernière marche du podium.
« Le premier tour était très bon puisque je me suis rapidement retrouvé à la 6e place, puis à la 3e à 7 tours de l'arrivée », explique Isack.
« J'étais très précautionneux avec mes pneus arrière, certainement trop car ça a fini par tuer les gommes à l'avant. Ça a provoqué des blocages de roues, le rythme a chuté et je me suis fait passer, mais la 4e place n'était pas si mauvaise pour lancer la saison. »
De prononcée, l'usure des pneus est devenue extrême sur la monoplace de Victor Martins. Parti 3e, le meilleur rookie de la saison dernière s'est installé à la 2e place dès les premiers mètres puis a harcelé le leader. Mais la mi-course avalée, les Pirelli ont eu une indigestion fatale au tricolore.
« J'aime ce circuit, mais la chaleur peut rendre très compliquée la dégradation des pneus. Entre l'abrasivité naturelle et la configuration du tracé, gérer les gommes peut virer au casse-tête et ça a été le cas dans le sprint où je suis devenu une proie facile pour mes adversaires dans les derniers tours » commente Victor.
Qualifié à la 2e place, Isack est parti de la 9e position de la grille inversée et a dépassé de nombreux adversaires pour remonter à la 3e place. Ses pneus ont malheureusement payé le prix de sa chevauchée et ont souffert de dégradation en vue de l'arrivée et Isack a finalement buté sur la dernière marche du podium.
« Le premier tour était très bon puisque je me suis rapidement retrouvé à la 6e place, puis à la 3e à 7 tours de l'arrivée », explique Isack.
« J'étais très précautionneux avec mes pneus arrière, certainement trop car ça a fini par tuer les gommes à l'avant. Ça a provoqué des blocages de roues, le rythme a chuté et je me suis fait passer, mais la 4e place n'était pas si mauvaise pour lancer la saison. »
De prononcée, l'usure des pneus est devenue extrême sur la monoplace de Victor Martins. Parti 3e, le meilleur rookie de la saison dernière s'est installé à la 2e place dès les premiers mètres puis a harcelé le leader. Mais la mi-course avalée, les Pirelli ont eu une indigestion fatale au tricolore.
« J'aime ce circuit, mais la chaleur peut rendre très compliquée la dégradation des pneus. Entre l'abrasivité naturelle et la configuration du tracé, gérer les gommes peut virer au casse-tête et ça a été le cas dans le sprint où je suis devenu une proie facile pour mes adversaires dans les derniers tours » commente Victor.
ELAN BRISÉ EN COURSE LONGUE
Samedi, avec la 2e place de la grille en poche et une première course prometteuse, Isack miroitait sa première victoire de la saison. Une bonne impulsion lui a permis de bien enrouler le premier virage, mais pas d'en sortir. Un adversaire en perdition l'a percuté et provoqué un accrochage en chaîne.
« Il n'y a rien à dire… Le départ était bon, mais j'ai été mis hors course. Charmant… Le point positif est que nous avons été rapides dans toutes les séances » conclut Isack.
Ralenti par le contournement de la monoplace blessée d'Isack, Victor a bouclé le premier tour en 12e position. Englué dans le peloton, il a effectué un pit stop précoce pour rouler dans un air libre sans solliciter ses pneus. Remonté au 6e rang à l'issue des arrêts aux stands, il n'a pu dérouler sa stratégie jusqu'au bout, un problème électronique le forçant à s'arrêter sur le bas-côté.
Communiqué FFSA
« Il n'y a rien à dire… Le départ était bon, mais j'ai été mis hors course. Charmant… Le point positif est que nous avons été rapides dans toutes les séances » conclut Isack.
Ralenti par le contournement de la monoplace blessée d'Isack, Victor a bouclé le premier tour en 12e position. Englué dans le peloton, il a effectué un pit stop précoce pour rouler dans un air libre sans solliciter ses pneus. Remonté au 6e rang à l'issue des arrêts aux stands, il n'a pu dérouler sa stratégie jusqu'au bout, un problème électronique le forçant à s'arrêter sur le bas-côté.
Communiqué FFSA