© AMG Mercedes F1
La retraite surprise de Nico Rosberg a chamboulé une intersaison que l'on prédisait ennuyeuse, les derniers volants sont connus, à commencé par le plus convoité, celui de Mercedes.
Bottas chez Mercedes :
Mercedes a jugé l'ensemble de ses options, et c'est finalement la moins risquée qui a été choisie, après avoir discuté avec Williams, un accord a été trouvé pour que Bottas déjà confirmé dans l'équipe Anglaise puisse être transféré chez Mercedes (une réduction moteur, et/ou l'arrivée de Paddy Lowe ont du aider).
Le finlandais qui vivra sa cinquième saison, a jusqu'ici réalisé 9 podiums.Qualifié de pilote qui garde les pieds sur terre, très concentré, Wolff peut légitimement penser qu'il devrait se fondre rapidement dans le moule Mercedes et pouvoir gérer l'encombrant Lewis Hamilton.
Reste à voir comment va évoluer Bottas avec en mains, une monoplace capable de s'imposer à chaque course.
Massa sort de sa retraite :
Pour accompagner Lance Stroll, Williams n'avait pas d'autre choix que de trouver un pilote expérimenté (leur sponsor principal Martini ne peut communiquer avec un si jeune pilote), et dans ce cas, autant se tourner vers quelqu'un que l'on connait bien. Felipe Massa après avoir réfléchi, a choisi de revenir dans l'équipe anglaise, heureux de retrouver un volant compétitif, et qui possède toujours l'envie de piloter.
Reste tout de même un léger arrière-goût, tout d'abord, le fait de laisser partir Bottas vers il est vrai une offre qui ne peut se refuser, et dans un autre registre on repensera à l'émouvant GP du Brésil de Felipe Massa où il a fait ses adieux à son public, et le voir revenir rend tout cela au final incongru et légèrement étrange.
Wehrlein chez Sauber :
Dernière pièce de cet échiquier, malheureusement pour lui pas la principale, Pascal Wehrlein a trouvé refuge chez Sauber, déçu par une non titularisation chez Force India au profit du français Esteban Ocon, une autre non titularisation chez Mercedes, où il n'a pas du tant du être considéré comme une option viable, c'est finalement chez Sauber que le pilote allemand sera en 2017.
Il n'y aura pas grand chose à espérer, la Sauber aura un moteur Ferrari de la saison précédente, et avec l'absence possible de Manor, il pourrait se retrouver en fond de peloton.
L'inconnue Manor :
S'il reste des volants disponibles, cela sera chez Manor, encore faudra-t-il que l'écurie trouve un repreneur avant le 20 janvier si elle veut avoir une chance d'être présente sur la grille de Melbourne, alors qu'aucune pièce n'a été produite. Toujours est-il qu'une offre de reprise a été faite, sera-t-elle suffisante, et poussera-t-elle le gestionnaire à l'accepter ? L'avenir proche nous donnera la réponse.
Bottas chez Mercedes :
Mercedes a jugé l'ensemble de ses options, et c'est finalement la moins risquée qui a été choisie, après avoir discuté avec Williams, un accord a été trouvé pour que Bottas déjà confirmé dans l'équipe Anglaise puisse être transféré chez Mercedes (une réduction moteur, et/ou l'arrivée de Paddy Lowe ont du aider).
Le finlandais qui vivra sa cinquième saison, a jusqu'ici réalisé 9 podiums.Qualifié de pilote qui garde les pieds sur terre, très concentré, Wolff peut légitimement penser qu'il devrait se fondre rapidement dans le moule Mercedes et pouvoir gérer l'encombrant Lewis Hamilton.
Reste à voir comment va évoluer Bottas avec en mains, une monoplace capable de s'imposer à chaque course.
Massa sort de sa retraite :
Pour accompagner Lance Stroll, Williams n'avait pas d'autre choix que de trouver un pilote expérimenté (leur sponsor principal Martini ne peut communiquer avec un si jeune pilote), et dans ce cas, autant se tourner vers quelqu'un que l'on connait bien. Felipe Massa après avoir réfléchi, a choisi de revenir dans l'équipe anglaise, heureux de retrouver un volant compétitif, et qui possède toujours l'envie de piloter.
Reste tout de même un léger arrière-goût, tout d'abord, le fait de laisser partir Bottas vers il est vrai une offre qui ne peut se refuser, et dans un autre registre on repensera à l'émouvant GP du Brésil de Felipe Massa où il a fait ses adieux à son public, et le voir revenir rend tout cela au final incongru et légèrement étrange.
Wehrlein chez Sauber :
Dernière pièce de cet échiquier, malheureusement pour lui pas la principale, Pascal Wehrlein a trouvé refuge chez Sauber, déçu par une non titularisation chez Force India au profit du français Esteban Ocon, une autre non titularisation chez Mercedes, où il n'a pas du tant du être considéré comme une option viable, c'est finalement chez Sauber que le pilote allemand sera en 2017.
Il n'y aura pas grand chose à espérer, la Sauber aura un moteur Ferrari de la saison précédente, et avec l'absence possible de Manor, il pourrait se retrouver en fond de peloton.
L'inconnue Manor :
S'il reste des volants disponibles, cela sera chez Manor, encore faudra-t-il que l'écurie trouve un repreneur avant le 20 janvier si elle veut avoir une chance d'être présente sur la grille de Melbourne, alors qu'aucune pièce n'a été produite. Toujours est-il qu'une offre de reprise a été faite, sera-t-elle suffisante, et poussera-t-elle le gestionnaire à l'accepter ? L'avenir proche nous donnera la réponse.
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