L'équipe britannique progresse mais ... (© McLaren F1)
Désormais équipée du moteur Renault, et débarrassée du Honda, les attentes affichées par McLaren en début de saison étaient élevées.
L'équipe Anglaise qui a vécu trois saisons cauchemardesques avec Honda, et qui laissait souvent entendre que le châssis était un des meilleurs sinon le meilleur a peut-être vu un peu trop gros en envisageant de se retrouver rapidement dans le peloton de tête, ou à défaut d'être au niveau de Renault et RedBull équipées du même moteur.
Après trois GP, les progrès sont visibles, mais pas au niveau attendu ou du moins espéré. Ajoutons à cela la 4ème place de Pierre Gasly sur la Toro Rosso Honda à Bahrein, et certains de se gausser des résultats de l'équipe McLaren.
Pourtant les chiffres sont là, et implacables : en trois GP, McLaren a marqué 28 points, soit seulement deux de moins que durant toute la saison 2017. L'équipe anglaise occupe la 4ème place au Championnat, mais est cependant distancée des trois premières équipes. Alonso a déjà marqué 22 points, soit cinq de plus que durant la saison 2017.
L'équipe Anglaise qui a vécu trois saisons cauchemardesques avec Honda, et qui laissait souvent entendre que le châssis était un des meilleurs sinon le meilleur a peut-être vu un peu trop gros en envisageant de se retrouver rapidement dans le peloton de tête, ou à défaut d'être au niveau de Renault et RedBull équipées du même moteur.
Après trois GP, les progrès sont visibles, mais pas au niveau attendu ou du moins espéré. Ajoutons à cela la 4ème place de Pierre Gasly sur la Toro Rosso Honda à Bahrein, et certains de se gausser des résultats de l'équipe McLaren.
Pourtant les chiffres sont là, et implacables : en trois GP, McLaren a marqué 28 points, soit seulement deux de moins que durant toute la saison 2017. L'équipe anglaise occupe la 4ème place au Championnat, mais est cependant distancée des trois premières équipes. Alonso a déjà marqué 22 points, soit cinq de plus que durant la saison 2017.
C'est pourtant un niveau encore supérieur qui était attendu, car pour le moment, McLaren n'est clairement pas dans le rythme de RedBull, et se situe au niveau de celui de l'équipe officielle Renault. La première cause semble être une intégration tardive du nouveau moteur Renault.
Une version B de la monoplace, pour ne pas dire la véritable voiture 2018 est attendue pour le GP d'Espagne, car il se murmure également que les objectifs fixés en terme de gains sur l'aérodynamiques et le châssis n'étaient pas suffisants, et que la concurrence a davantage progressé qu'attendu.
L'équipe a donc bel et bien progressé, mais si elle n'affiche pas encore les résultats attendus, elle n'a désormais plus l'excuse d'un moteur Honda, puisque le Renault s'est bel et bien imposé en Chine, mais dans une RedBull. Il reste donc à McLaren de prouver par les résultats qu'elle est capable de construire un châssis digne d'être Champion du Monde.
Une version B de la monoplace, pour ne pas dire la véritable voiture 2018 est attendue pour le GP d'Espagne, car il se murmure également que les objectifs fixés en terme de gains sur l'aérodynamiques et le châssis n'étaient pas suffisants, et que la concurrence a davantage progressé qu'attendu.
L'équipe a donc bel et bien progressé, mais si elle n'affiche pas encore les résultats attendus, elle n'a désormais plus l'excuse d'un moteur Honda, puisque le Renault s'est bel et bien imposé en Chine, mais dans une RedBull. Il reste donc à McLaren de prouver par les résultats qu'elle est capable de construire un châssis digne d'être Champion du Monde.
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