Fort d’une régularité (quasi) exemplaire tout au long de cette saison Blancpain Sprint Series 2014 au volant de l’Audi R8 LMS Ultra N°4, Vincent Abril ne pointe désormais plus qu’à une longueur de l’objectif fixé par le team WRT : la Silver Cup. Entre les rails du circuit urbain de Baku, le pilote Français pourrait ainsi décrocher son premier titre mondial en carrière.
Vincent, j’imagine que vous abordez ce week-end différemment des autres de la saison ?
Absolument pas ! C’est sûr que la tension est montée d’un cran mais justement, nous ne changerons rien à nos habitudes pour aborder ce rendez-vous si particulier. Baku est un circuit très atypique et si nous ne voulons pas tomber dans les nombreux pièges ici, nous devons garder la même méthodologie de travail. Nous serons donc concentrés sur la course avant de penser au championnat.
Quelle sera la clé du succès sur le circuit de Baku ?
Comme tous les circuits en ville, c’est très difficile d’y doubler et nous devrons limiter les prises de risques en course. Les qualifications seront donc primordiales pour bien se placer dès le départ. Le tempo sera également élevé ce qui demandera un équilibre de la voiture parfait pour attaquer sans trop dégrader les pneus et les freins. Enfin, les tracés urbains offrent toujours des épreuves très disputées avec plusieurs interventions de la safety car mais pour la stratégie, j’ai une confiance aveugle en l’équipe WRT qui est experte en la matière.
Vous étiez au Paul Ricard le week-end dernier pour la dernière manche du GT Tour. Un moyen de décompresser avant cette grande finale mondiale ?
Oui retrouver le Team Speed Car me fait toujours beaucoup de bien, et j’ai adoré partager le volant avec mon ami Nicolas Metairie. Après, j’aborde chaque course avec la même concentration et toujours autant de détermination. Alors je ne sais pas si ce week-end m’a vraiment fait décompresser mais une chose est sûre, entouré de tous mes proches et des gens qui m’ont fais démarrer en sport automobile m’a boosté à 110% et c’est aussi pour eux que je décrocherai la Silver Cup ce week-end.
Vincent, j’imagine que vous abordez ce week-end différemment des autres de la saison ?
Absolument pas ! C’est sûr que la tension est montée d’un cran mais justement, nous ne changerons rien à nos habitudes pour aborder ce rendez-vous si particulier. Baku est un circuit très atypique et si nous ne voulons pas tomber dans les nombreux pièges ici, nous devons garder la même méthodologie de travail. Nous serons donc concentrés sur la course avant de penser au championnat.
Quelle sera la clé du succès sur le circuit de Baku ?
Comme tous les circuits en ville, c’est très difficile d’y doubler et nous devrons limiter les prises de risques en course. Les qualifications seront donc primordiales pour bien se placer dès le départ. Le tempo sera également élevé ce qui demandera un équilibre de la voiture parfait pour attaquer sans trop dégrader les pneus et les freins. Enfin, les tracés urbains offrent toujours des épreuves très disputées avec plusieurs interventions de la safety car mais pour la stratégie, j’ai une confiance aveugle en l’équipe WRT qui est experte en la matière.
Vous étiez au Paul Ricard le week-end dernier pour la dernière manche du GT Tour. Un moyen de décompresser avant cette grande finale mondiale ?
Oui retrouver le Team Speed Car me fait toujours beaucoup de bien, et j’ai adoré partager le volant avec mon ami Nicolas Metairie. Après, j’aborde chaque course avec la même concentration et toujours autant de détermination. Alors je ne sais pas si ce week-end m’a vraiment fait décompresser mais une chose est sûre, entouré de tous mes proches et des gens qui m’ont fais démarrer en sport automobile m’a boosté à 110% et c’est aussi pour eux que je décrocherai la Silver Cup ce week-end.