Entrée en matière difficile pour Soheil AYARI à l’occasion des Coupes de Pâques disputées sur le Circuit Paul Armagnac de Nogaro. Malgré sa parfaite connaissance du tracé (le pilote savoyard a gagné ici dans toutes les catégorie de monoplace, Supertourisme, Grand Tourisme et prototype !), les deux journées de course (dimanche et lundi de Pâques) ont révélé un manque cruel de vitesse de pointe dans l’une des plus longue ligne droite du championnat. Un handicap ressenti d’ailleurs par tous les équipages pilotant une Ginetta G55 !
Et pourtant les performances de l’auto sont prometteuses. La n°26 se distinguait d’ailleurs aux essais libres 1 et 2 le samedi, en signant respectivement les 3e et meilleur chronos. Le lendemain matin, Soheil échouait à la 9e position aux qualifications de la Course 2, à 4/10e de la pole, preuve supplémentaire de la concurrence du championnat GT4 qui regroupe 30 concurrents et bientôt 5 de plus au prochain meeting de Pau (20 et 21 mai). Peu avant, Nicolas TARDIF réalisait le 12e temps de la Course 1.
Et pourtant les performances de l’auto sont prometteuses. La n°26 se distinguait d’ailleurs aux essais libres 1 et 2 le samedi, en signant respectivement les 3e et meilleur chronos. Le lendemain matin, Soheil échouait à la 9e position aux qualifications de la Course 2, à 4/10e de la pole, preuve supplémentaire de la concurrence du championnat GT4 qui regroupe 30 concurrents et bientôt 5 de plus au prochain meeting de Pau (20 et 21 mai). Peu avant, Nicolas TARDIF réalisait le 12e temps de la Course 1.
Soheil Ayari : « Nous avons un bon set-up course mais il n’a pas fonctionné comme je le pensais avec les pneus qualif. »
Course 1
Au départ de la course du dimanche, Nicolas TARDIF souffre pour défendre son rang. Le manque de vitesse de pointe de la G55 le contraint à céder des places précieuses en lignes droites, bien qu’il parvient à prendre un peu d’espace dans les parties techniques du tracé.
Il passe le volant à Soheil en 17e position, mais le pilote d’Aix-les-Bains souffrira du même mal pendant son relais, ne parvenant pas à s’extraire de la meute. Pire, à force de défendre, Soheil se retrouve contre ses adversaires à quatre de front dans les « S du Lac », et se fait percuter par une BMW partie en tête-à-queue. Les dégâts trop importants à l’avant de la Ginetta l’empêchent de poursuivre la Course 1.
Il passe le volant à Soheil en 17e position, mais le pilote d’Aix-les-Bains souffrira du même mal pendant son relais, ne parvenant pas à s’extraire de la meute. Pire, à force de défendre, Soheil se retrouve contre ses adversaires à quatre de front dans les « S du Lac », et se fait percuter par une BMW partie en tête-à-queue. Les dégâts trop importants à l’avant de la Ginetta l’empêchent de poursuivre la Course 1.
Course 2
Le lendemain, Soheil s’accroche à sa 9e position initiale. Il perd quasiment 100 m. en ligne droite et revient sur les Porsche Cayman CS qui le précédent dans les parties techniques. Profitant de l’abandon de quelques concurrents concurrents, il gagne deux places réussit à transmettre le volant en 7e position à Nicolas TARDIF qui malgré de bons chronos ne peut lutter à armes égales avec les surpuissantes Porsche et BMW. La n°26 termine en 14e position de la course du lundi.
Bilan contrasté
Soheil Ayari : « Nous avons de la performances, d’ailleurs nos temps au tour en course qui plutôt bons, mais sur des circuits offrant une telle ligne droite nous sommes trop exposés aux attaques de nos adversaires. Certes nous devrions être plus dans le coup dans les rues de Pau fin mai, un tracé urbain donc sinueux et techniques, mais à l’issue de Nogaro nous sommes un peu perplexes sur la suite du championnat, notamment en imaginant ce que donneront pour les Ginetta des tracés comme Dijon, Magny-Cours ou Barcelone... »