Doubles champions de France en titre de la catégorie Pro-Am avec une Audi R8 de la formation Sainteloc, Gregory Guilvert et son compagnon de route, Fabien Michal se lancent à l’assaut de leur troisième saison en commun.
Si vous êtes adeptes des gazettes musicales, il ne vous aura pas échappé que l’affirmation du style et l’expérience venant, la sortie d’un nouvel opus se traduit souvent par la formule de « l’album de la maturité ». Dans le vieux couple qu’il forme, en accord parfait avec son équipier Fabien Michal, Gregory Guilvert s’apprête, lui, à lancer sa saison de la consécration :
« la première année, on a eu de la chance ; la deuxième année était celle de la confirmation ; cette saison pourrait être celle de la consécration. »
Le binôme, tenant du titre du championnat FFSA GT4, entamera ce week-end à Nogaro sa troisième campagne pour tenter de s’adjuger la couronne de champion de France. « La réglementation a connu quelques modifications mais on a quand même signé », assure Gregory Guilvert. « Et on l’a fait en connaissance de cause. Je pense qu’on est capable d’aller chercher le titre. On va tout faire pour, en tout cas. Maintenant on se fait plaisir et on est heureux d’être là. »
Après plusieurs mois de stand-by, les trente équipages du GT4 avaient fait leur retour sur le circuit gersois début juillet en profitant des quatorze heures de roulage réparties sur deux journées.
« On reprend vite nos marques et cela fait beaucoup de bien », concédait le pilote Melunais après ses premiers tours de piste.
« On a eu un nouveau pack de modifications, essentiellement esthétiques pour rentrer dans le moule des nouvelles Audi R8 : un parechoc avant avec une nouvelle lame mais aussi un nouvel ABS avec huit positions. C’est un bouton qui nous fait nous poser beaucoup de questions pour pas grand-chose pour l’instant. La traction control qui était trop linéaire a aussi été revu. Mais je trouve que l’évolution n’est pas au rendez-vous en termes de performances pures. »
L’une des composantes que ces deux journées de roulage ont également permis d’appréhender est la nouvelle mouture de pneus proposée par Pirelli. « Nous travaillons vraiment le set-up autour de cet aspect. Nous avons passés de nombreux pneus mais la performance n’est, pour l’instant, pas à la hauteur de nos attentes. »
Si vous êtes adeptes des gazettes musicales, il ne vous aura pas échappé que l’affirmation du style et l’expérience venant, la sortie d’un nouvel opus se traduit souvent par la formule de « l’album de la maturité ». Dans le vieux couple qu’il forme, en accord parfait avec son équipier Fabien Michal, Gregory Guilvert s’apprête, lui, à lancer sa saison de la consécration :
« la première année, on a eu de la chance ; la deuxième année était celle de la confirmation ; cette saison pourrait être celle de la consécration. »
Le binôme, tenant du titre du championnat FFSA GT4, entamera ce week-end à Nogaro sa troisième campagne pour tenter de s’adjuger la couronne de champion de France. « La réglementation a connu quelques modifications mais on a quand même signé », assure Gregory Guilvert. « Et on l’a fait en connaissance de cause. Je pense qu’on est capable d’aller chercher le titre. On va tout faire pour, en tout cas. Maintenant on se fait plaisir et on est heureux d’être là. »
Après plusieurs mois de stand-by, les trente équipages du GT4 avaient fait leur retour sur le circuit gersois début juillet en profitant des quatorze heures de roulage réparties sur deux journées.
« On reprend vite nos marques et cela fait beaucoup de bien », concédait le pilote Melunais après ses premiers tours de piste.
« On a eu un nouveau pack de modifications, essentiellement esthétiques pour rentrer dans le moule des nouvelles Audi R8 : un parechoc avant avec une nouvelle lame mais aussi un nouvel ABS avec huit positions. C’est un bouton qui nous fait nous poser beaucoup de questions pour pas grand-chose pour l’instant. La traction control qui était trop linéaire a aussi été revu. Mais je trouve que l’évolution n’est pas au rendez-vous en termes de performances pures. »
L’une des composantes que ces deux journées de roulage ont également permis d’appréhender est la nouvelle mouture de pneus proposée par Pirelli. « Nous travaillons vraiment le set-up autour de cet aspect. Nous avons passés de nombreux pneus mais la performance n’est, pour l’instant, pas à la hauteur de nos attentes. »
« Ce n’est pas parce qu’on est champions que tout est acquis. La preuve, on prend des corrections depuis hier », remarquait Guilvert à la mi-journée de la deuxième journée de test. Fidèle du team Sainteloc. Les doubles champions de France en titre de la catégorie Pro-Am ont fait le choix de la continuité.
« Notre fidélité mutuelle avec Sainteloc donne envie de l’extérieur. On s’y sent très bien et c’est aussi le sentiment des nouveaux arrivants. On est là pour leur donner les clés techniques », assure le sociétaire du team stéphanois. Et d’ajouter : « Mais pas toutes clés les non plus ! On en garde une ou deux dans la poche. »
« On a le plus petit budget des binômes. On a demandé à faire notre troisième saison avec la même voiture alors que d’autres ont pris l’option du neuf. Mais il y aura un beau challenge, déjà en interne avec les quatre autres voitures du team. »
« J’ai un bon coéquipier, j’ai réussi à le garder, on est chez Sainteloc, donc tout va bien ! »
Le duo et son Audi R8 LMS semble s’orienter sur une voie toute tracée, la cible de favoris flanquée sur le dos dans une cuvée 2020 qui s’annonce, toutefois, pleine de rebondissements avec l’introduction de nouveaux modèles de véhicules qui ont, pour certains, déjà fait leur preuve sur la scène européenne.
D'après un communiqué
« Notre fidélité mutuelle avec Sainteloc donne envie de l’extérieur. On s’y sent très bien et c’est aussi le sentiment des nouveaux arrivants. On est là pour leur donner les clés techniques », assure le sociétaire du team stéphanois. Et d’ajouter : « Mais pas toutes clés les non plus ! On en garde une ou deux dans la poche. »
« On a le plus petit budget des binômes. On a demandé à faire notre troisième saison avec la même voiture alors que d’autres ont pris l’option du neuf. Mais il y aura un beau challenge, déjà en interne avec les quatre autres voitures du team. »
« J’ai un bon coéquipier, j’ai réussi à le garder, on est chez Sainteloc, donc tout va bien ! »
Le duo et son Audi R8 LMS semble s’orienter sur une voie toute tracée, la cible de favoris flanquée sur le dos dans une cuvée 2020 qui s’annonce, toutefois, pleine de rebondissements avec l’introduction de nouveaux modèles de véhicules qui ont, pour certains, déjà fait leur preuve sur la scène européenne.
D'après un communiqué