Ce film est l'histoire du parcours de Jann Mardenborough, passé de Gran Turismo à la compétition, principalement en GT et en endurance.
Sans dévoiler l'intrigue, le film propose de suivre un passionné de Gran Turismo sur sa Playstation (autoproclamée par ses créateurs comme première et meilleure simulation automobile comme indiqué au début du film), qui rêve de devenir pilote. Grâce à un concours visant à prendre les dix meilleurs pilotes Gran Turismo à la GT Academy mise en place par Sony et Nissan en 2011, il parvient à passer de l'écran au cockpit.
Dès lors, les feux sont au vert, et il devra affronter les doutes de sa famille, de son équipe et aussi de ses adversaires.
Sans dévoiler l'intrigue, le film propose de suivre un passionné de Gran Turismo sur sa Playstation (autoproclamée par ses créateurs comme première et meilleure simulation automobile comme indiqué au début du film), qui rêve de devenir pilote. Grâce à un concours visant à prendre les dix meilleurs pilotes Gran Turismo à la GT Academy mise en place par Sony et Nissan en 2011, il parvient à passer de l'écran au cockpit.
Dès lors, les feux sont au vert, et il devra affronter les doutes de sa famille, de son équipe et aussi de ses adversaires.
Inspiré de la vie et du parcours de Mardenborough, le film prend cependant des libertés et des chicanes (notamment chronologiques sur un évènement clef) pour en faire une histoire qui tient sur deux heures. Il retracera les moments clefs du début de la carrière du jeune pilote joué par un Archie Madekwe assez convaincant dans ce rôle.
Autour de lui on retrouvera son ingénieur Jack Salter joué par David Harbour, qui sort ici un peu de ses rôles de méchants. Orlando Bloom joue Danny Moore qui est l'instigateur de la GT Academy.
A noter que les fans de F1 auront le plaisir de voir une tête du paddock, à savoir Geri Halliwell-Horner, l'ex Spice-Girl et compagne de Christian Horner, joue le rôle de la mère de Jann. David Harbour qui joue son père, réalise également une solide performance.
Si globalement, les acteurs s'en sortent plutôt bien, le scénario et la réalisation vont hélas manquer de puissance.
Autour de lui on retrouvera son ingénieur Jack Salter joué par David Harbour, qui sort ici un peu de ses rôles de méchants. Orlando Bloom joue Danny Moore qui est l'instigateur de la GT Academy.
A noter que les fans de F1 auront le plaisir de voir une tête du paddock, à savoir Geri Halliwell-Horner, l'ex Spice-Girl et compagne de Christian Horner, joue le rôle de la mère de Jann. David Harbour qui joue son père, réalise également une solide performance.
Si globalement, les acteurs s'en sortent plutôt bien, le scénario et la réalisation vont hélas manquer de puissance.
Le scénario, même s'il raccourcit la progression de Mardenborough, joue beaucoup sur les poncifs habituels. Réussir quand tout le monde dit que c'est impossible, l'évènement qui remet tout en cause, le méchant au premier abord, qui finalement s'attendrit, et la fin qui finit bien. De même, si vous jouez aux jeux vidéos, vous ne faites forcément rien d'autre à côté, ou bien encore l'adversaire qui gagne car il a de l'argent.
Ici nous ne sommes clairement pas face à un film artistique, mais face à un film commercial. Les placements de produits sont très grossiers, de Polyphony Digital, à Nissan Nismo, en passant par Fanatic et Moet et Chandon... Ce film est produit par Sony, et on vous le fait bien savoir.
L'autre sortie de piste se fait au niveau de la réalisation. Les fans de sports mécaniques remarqueront tout de suite les habituels tours de magie et non de piste pour filmer de la course automobile. Des mélanges de prises réelles lors de la course, avec d'autres tournées pour l'occasion, ou en CGI. Des voitures de courses d'autres catégories inférieures, pour remplir le plateau. L'éternel coup de pédale qui permet d'accelérer et comme par hasard de dépasser...
Ici nous ne sommes clairement pas face à un film artistique, mais face à un film commercial. Les placements de produits sont très grossiers, de Polyphony Digital, à Nissan Nismo, en passant par Fanatic et Moet et Chandon... Ce film est produit par Sony, et on vous le fait bien savoir.
L'autre sortie de piste se fait au niveau de la réalisation. Les fans de sports mécaniques remarqueront tout de suite les habituels tours de magie et non de piste pour filmer de la course automobile. Des mélanges de prises réelles lors de la course, avec d'autres tournées pour l'occasion, ou en CGI. Des voitures de courses d'autres catégories inférieures, pour remplir le plateau. L'éternel coup de pédale qui permet d'accelérer et comme par hasard de dépasser...
Une bonne note cependant, des angles de vue qui rendent hommage à Gran Turismo, des rajouts visuels comme la position, ou les noms des pilotes, les trajectoires, qui reprennent les codes du jeu.
Un gros coup de frein est donné cependant au niveau des CGI, on voit très bien les séquences faites en imagerie numérique. Non pas forcément sur le rendu des voitures, mais plus sur leurs mouvements, notamment des passages de virages à des vitesses bien irréalistes. On a parfois vraiment l'impression d'être face à une cinématique du jeu.
Les fans de sports mécaniques ou de Gran Turismo y verront de sympathiques clins d'oeil, les autres n'y verront aucun intérêt. Finalement, on s'ennuie durant ces deux heures, et on oubliera vite ce film d'août, une fois le drapeau à damier abaissé, et les lumières du cinéma rallumées.
Un gros coup de frein est donné cependant au niveau des CGI, on voit très bien les séquences faites en imagerie numérique. Non pas forcément sur le rendu des voitures, mais plus sur leurs mouvements, notamment des passages de virages à des vitesses bien irréalistes. On a parfois vraiment l'impression d'être face à une cinématique du jeu.
Les fans de sports mécaniques ou de Gran Turismo y verront de sympathiques clins d'oeil, les autres n'y verront aucun intérêt. Finalement, on s'ennuie durant ces deux heures, et on oubliera vite ce film d'août, une fois le drapeau à damier abaissé, et les lumières du cinéma rallumées.