Victoire de la jeunesse et de l'expérience ! (Photo GT Tour)
Amené à rejoindre le championnat de France au dernier moment, Dino Lunardi a réussi son retour en remportant avec son coéquipier Vincent Abril la première course du meeting de Spa. Une première pour le team Speedcar qui avait obtenu la pole le matin avec Abril. En coupe de France, Jean Paul Buffin, associé à Jean Paul Oudin n’a pas eu trop de mal à gagner sur un circuit qu’il découvrait.
Après une excursion en Italie, le championnat de France a mis le cap vers le superbe circuit de SPA Francorchamps en Belgique pour une nouvelle étape de sa saison. Une étape qui a tourné court pour le team Pro GT by Almeras contraint à déclarer forfait en raison d’ennuis mécaniques engageant la sécurité des pilotes. Ainsi, Guibbert, Morel, Perera et leurs coéquipiers ne pouvaient pas rouler.
Le tout jeune Vincent Abril (Audi/Speedcar) a obtenu la pole position de la première qualification. Pas impressionné au moment du départ il résiste à Demoustier et sa McLaren. Toutefois ce dernier prendra l’avantage après le raidillon. Abril ne s’affole pas et conserve sa 2e position avant que son Audi ne soit bien plus performante et qu’il repasse à l’attaque au 4e tour. De nouveau leader, Abril ne va plus lâcher le commandement jusqu’à la fin de son relai.
Derrière, les explications sont musclées. Hassid est particulièrement offensif et il a un premier contact avec la McLaren de Pasquali. Ce dernier casse son demi-train arrière et doit rentrer aux stands pour abandonner.
Chez ART, on ne se fait pas de cadeaux non plus et Vannelet double Demoustier. Barthez pointe alors sa Ferrari dans le sillage des McLaren et en maintenant le pressing pousse Demoustier à la faute. Avant la demi-heure de course, Barthez fait une légère erreur de trajectoire et Hassid s’engouffre. Henri Hassid est en forme et s’attaque maintenant à Vannelet qui ne résiste pas car les changements de pilotes débutent.
Vincent Abril a construit une avance de 8 secondes sur le 2e et passe le volant à Dino Lunardi. Malgré les menaces de pluie le Nîmois s’évertue à maintenir son avantage sur ses poursuivants. Badey a pris le relai d’Hassid et il est 2e devant Morgan Moullin Traffort qui a pris la suite de Barthez.
Antoine Leclerc et Olivier Panis se bagarrent et, en se gênant, permettent à Moullin Traffort de les doubler.
Cayrolle a laissé le volant à Santamato et le duo pointe maintenant à la 3e place. La course s’est jouée sur cette première partie et les dernières 20 minutes sont relativement plus calmes. On notera seulement une pénalité pour Briché et sa Nissan et un contact entre Cazenave et Leclerc qui entrainera un problème mécanique pour Cazenave : il aura une crevaison avant d’aborder le raidillon !
En Coupe de France GT, la Porsche/ASP Competition a mené la course de bout en bout. Après le premier relais de Jean-Paul Buffin, Jean-Paul Oudin a terminé le travail sans trembler. Les deux hommes précèdent la Ferrari/JMB Racing de Jérôme Demay et Patrice Madelaine, suivie de l’Aston Martin du Team Speedcar, confiée à Thomas Nicolle et Serge Nauges.
Dino Lunardi (Audi R8 LMS ultra n°36/Team Speedcar), 1er Course 1 Championnat de France GT :
« Je voulais participer au Championnat de France GT mais cela n’avait pas pu se faire en début de saison. J’ai eu l’opportunité de rejoindre Speedcar, en remplaçant Sébastien Cabirou, que je connais bien. J’ai d’ailleurs une pensée pour lui après ce succès. Avec Vincent (Abril), Nous avions déjà travaillé ensemble cet hiver et je connais bien le team Speedcar, tout comme l’Audi. J’ai essayé de pousser l’équipe vers l’avant et de coacher Vincent, mais je crois que bientôt il n’en aura plus besoin. Il absorbe tout ! La mayonnaise a bien pris, le résultat le prouve. C’est la récompense d’un travail d’équipe. »
Vincent Abril (Audi R8 LMS ultra n°36/Team Speedcar), 1er Course 1 Championnat de France GT :
« J’étais déjà très content de décrocher la pole ce matin. Nous avons continué à travailler et j’avais pour objectif de faire un départ parfait. Malgré tout, la McLaren n°12 m’a doublé. J’ai pu reprendre la tête dans le 4e tour, en passant un peu en force. Le freinage était chaud, un peu limite, mais ça l’a fait ! C’était le tournant de la course. Attendre la fin sur le muret était vraiment compliqué à vivre. Quand Dino a passé la ligne d’arrivée, c’était une vraie délivrance. On a fait pas mal de paris cet hiver, mais je savais que nous avions le potentiel pour gagner. Cette victoire prouve qu’on peut le faire. C’est le fruit d’un travail d’équipe. Enfin, j’ai encore une bonne marge de progression, donc c’est intéressant pour la suite. »
Jean-Paul Buffin (Porsche 911 GT3 R n°73/ASP Competition), 1er Coupe de France GT :
« Je ne connaissais absolument pas ce circuit dont tout le monde m’a dit du bien. C’était donc une grande découverte, et ce d’autant plus que j’ai très peu roulé en essais libres. Je suis très heureux de cette victoire. D’une part pour tous les membres du team Ruffier Racing, qui ont fait un travail impressionnant compte tenu du début de saison que nous avons vécu. D’autre part pour mon ami et coéquipier Philippe Ullmann. Je lui dédie cette victoire et lui souhaite un bon rétablissement. Mon nouveau partenaire Jean-Paul Oudin a fait un sans faute. Le départ était un peu compliqué mais finalement nous avons eu une course sans histoire. »
Après une excursion en Italie, le championnat de France a mis le cap vers le superbe circuit de SPA Francorchamps en Belgique pour une nouvelle étape de sa saison. Une étape qui a tourné court pour le team Pro GT by Almeras contraint à déclarer forfait en raison d’ennuis mécaniques engageant la sécurité des pilotes. Ainsi, Guibbert, Morel, Perera et leurs coéquipiers ne pouvaient pas rouler.
Le tout jeune Vincent Abril (Audi/Speedcar) a obtenu la pole position de la première qualification. Pas impressionné au moment du départ il résiste à Demoustier et sa McLaren. Toutefois ce dernier prendra l’avantage après le raidillon. Abril ne s’affole pas et conserve sa 2e position avant que son Audi ne soit bien plus performante et qu’il repasse à l’attaque au 4e tour. De nouveau leader, Abril ne va plus lâcher le commandement jusqu’à la fin de son relai.
Derrière, les explications sont musclées. Hassid est particulièrement offensif et il a un premier contact avec la McLaren de Pasquali. Ce dernier casse son demi-train arrière et doit rentrer aux stands pour abandonner.
Chez ART, on ne se fait pas de cadeaux non plus et Vannelet double Demoustier. Barthez pointe alors sa Ferrari dans le sillage des McLaren et en maintenant le pressing pousse Demoustier à la faute. Avant la demi-heure de course, Barthez fait une légère erreur de trajectoire et Hassid s’engouffre. Henri Hassid est en forme et s’attaque maintenant à Vannelet qui ne résiste pas car les changements de pilotes débutent.
Vincent Abril a construit une avance de 8 secondes sur le 2e et passe le volant à Dino Lunardi. Malgré les menaces de pluie le Nîmois s’évertue à maintenir son avantage sur ses poursuivants. Badey a pris le relai d’Hassid et il est 2e devant Morgan Moullin Traffort qui a pris la suite de Barthez.
Antoine Leclerc et Olivier Panis se bagarrent et, en se gênant, permettent à Moullin Traffort de les doubler.
Cayrolle a laissé le volant à Santamato et le duo pointe maintenant à la 3e place. La course s’est jouée sur cette première partie et les dernières 20 minutes sont relativement plus calmes. On notera seulement une pénalité pour Briché et sa Nissan et un contact entre Cazenave et Leclerc qui entrainera un problème mécanique pour Cazenave : il aura une crevaison avant d’aborder le raidillon !
En Coupe de France GT, la Porsche/ASP Competition a mené la course de bout en bout. Après le premier relais de Jean-Paul Buffin, Jean-Paul Oudin a terminé le travail sans trembler. Les deux hommes précèdent la Ferrari/JMB Racing de Jérôme Demay et Patrice Madelaine, suivie de l’Aston Martin du Team Speedcar, confiée à Thomas Nicolle et Serge Nauges.
Dino Lunardi (Audi R8 LMS ultra n°36/Team Speedcar), 1er Course 1 Championnat de France GT :
« Je voulais participer au Championnat de France GT mais cela n’avait pas pu se faire en début de saison. J’ai eu l’opportunité de rejoindre Speedcar, en remplaçant Sébastien Cabirou, que je connais bien. J’ai d’ailleurs une pensée pour lui après ce succès. Avec Vincent (Abril), Nous avions déjà travaillé ensemble cet hiver et je connais bien le team Speedcar, tout comme l’Audi. J’ai essayé de pousser l’équipe vers l’avant et de coacher Vincent, mais je crois que bientôt il n’en aura plus besoin. Il absorbe tout ! La mayonnaise a bien pris, le résultat le prouve. C’est la récompense d’un travail d’équipe. »
Vincent Abril (Audi R8 LMS ultra n°36/Team Speedcar), 1er Course 1 Championnat de France GT :
« J’étais déjà très content de décrocher la pole ce matin. Nous avons continué à travailler et j’avais pour objectif de faire un départ parfait. Malgré tout, la McLaren n°12 m’a doublé. J’ai pu reprendre la tête dans le 4e tour, en passant un peu en force. Le freinage était chaud, un peu limite, mais ça l’a fait ! C’était le tournant de la course. Attendre la fin sur le muret était vraiment compliqué à vivre. Quand Dino a passé la ligne d’arrivée, c’était une vraie délivrance. On a fait pas mal de paris cet hiver, mais je savais que nous avions le potentiel pour gagner. Cette victoire prouve qu’on peut le faire. C’est le fruit d’un travail d’équipe. Enfin, j’ai encore une bonne marge de progression, donc c’est intéressant pour la suite. »
Jean-Paul Buffin (Porsche 911 GT3 R n°73/ASP Competition), 1er Coupe de France GT :
« Je ne connaissais absolument pas ce circuit dont tout le monde m’a dit du bien. C’était donc une grande découverte, et ce d’autant plus que j’ai très peu roulé en essais libres. Je suis très heureux de cette victoire. D’une part pour tous les membres du team Ruffier Racing, qui ont fait un travail impressionnant compte tenu du début de saison que nous avons vécu. D’autre part pour mon ami et coéquipier Philippe Ullmann. Je lui dédie cette victoire et lui souhaite un bon rétablissement. Mon nouveau partenaire Jean-Paul Oudin a fait un sans faute. Le départ était un peu compliqué mais finalement nous avons eu une course sans histoire. »