KC Motorgroup Ltd. (KCMG) était en lice pour une seconde victoire LMP2 consécutive aux 24 Heures du Mans lorsque la structure hongkongaise a été victime d’un souci électrique qui l’a contrainte à l’abandon.
KCMG avait pourtant connu un début d’épreuve probant. Préposé au départ, le Britannique Richard Bradley a couvert un superbe relais d’ouverture de quatre heures, passant de la neuvième à la troisième place dans des conditions piégeuses.
À 15h00, heure locale, la 84ème édition du double tour d’horloge sarthois a démarré derrière la Voiture de Sécurité après qu’une forte averse a balayé le Circuit des 24 Heures. Richard a immédiatement profité de cette neutralisation pour chausser des pneumatiques intermédiaires au septième tour.
Après deux heures de course, la piste s’est asséchée et l’écurie est passée en slicks. Affichant un rythme très compétitif sur le tracé de 13,629 km, l’ORECA 05-Nissan n°47 s’est alors hissée au troisième rang de la catégorie.
Matt, qui faisait partie de l’équipage KCMG victorieux en 2015 avec Richard, a ensuite pris le relais de son compatriote sur les coups de 19h00. Le pilote de Norwich avait vu son temps de roulage limité en qualifications pour cause d’intempéries mais il n’a pas tardé à se mettre dans l’allure et a, dans un premier temps, conservé la quatrième place.
Irréprochable pendant les deux heures trente de son relais, Matt est revenu dans le trio de tête après que la Manor n°44 est partie en tête-à-queue juste devant lui à la chicane Dunlop. Tsugio Matsuda, double champion de Formula Nippon, a pris la piste juste avant 21h30. Immédiatement dans le rythme, le Japonais évoluait en troisième position lorsqu’un débris a heurté le « marshalling system » de la voiture et détruit l’interrupteur général.
L’ORECA 05-Nissan n°47 s’est alors retrouvée au ralenti sur la ligne droite des Hunaudières, Matsuda se rangeant sur le côté droit de la piste. Alors que KCMG semblait se diriger vers l’abandon, le pilote de Super GT 500 est parvenu à regagner le stand de l’écurie hongkongaise au prix d’un bel effort, quoi qu’avec une heure de retard. Après un excellent travail des mécaniciens et ingénieurs, Richard a pu reprendre le volant.
La course de l’ORECA 05-Nissan n°47 a toutefois connu une fin prématurée lorsque de nouveaux ennuis électriques l’ont envoyée dans le bac à graviers.
KCMG avait pourtant connu un début d’épreuve probant. Préposé au départ, le Britannique Richard Bradley a couvert un superbe relais d’ouverture de quatre heures, passant de la neuvième à la troisième place dans des conditions piégeuses.
À 15h00, heure locale, la 84ème édition du double tour d’horloge sarthois a démarré derrière la Voiture de Sécurité après qu’une forte averse a balayé le Circuit des 24 Heures. Richard a immédiatement profité de cette neutralisation pour chausser des pneumatiques intermédiaires au septième tour.
Après deux heures de course, la piste s’est asséchée et l’écurie est passée en slicks. Affichant un rythme très compétitif sur le tracé de 13,629 km, l’ORECA 05-Nissan n°47 s’est alors hissée au troisième rang de la catégorie.
Matt, qui faisait partie de l’équipage KCMG victorieux en 2015 avec Richard, a ensuite pris le relais de son compatriote sur les coups de 19h00. Le pilote de Norwich avait vu son temps de roulage limité en qualifications pour cause d’intempéries mais il n’a pas tardé à se mettre dans l’allure et a, dans un premier temps, conservé la quatrième place.
Irréprochable pendant les deux heures trente de son relais, Matt est revenu dans le trio de tête après que la Manor n°44 est partie en tête-à-queue juste devant lui à la chicane Dunlop. Tsugio Matsuda, double champion de Formula Nippon, a pris la piste juste avant 21h30. Immédiatement dans le rythme, le Japonais évoluait en troisième position lorsqu’un débris a heurté le « marshalling system » de la voiture et détruit l’interrupteur général.
L’ORECA 05-Nissan n°47 s’est alors retrouvée au ralenti sur la ligne droite des Hunaudières, Matsuda se rangeant sur le côté droit de la piste. Alors que KCMG semblait se diriger vers l’abandon, le pilote de Super GT 500 est parvenu à regagner le stand de l’écurie hongkongaise au prix d’un bel effort, quoi qu’avec une heure de retard. Après un excellent travail des mécaniciens et ingénieurs, Richard a pu reprendre le volant.
La course de l’ORECA 05-Nissan n°47 a toutefois connu une fin prématurée lorsque de nouveaux ennuis électriques l’ont envoyée dans le bac à graviers.
Tsugio Matsuda : « Je suis naturellement déçu que nous n’ayons pu finir la course. C’est dommage, mais ces 24 Heures du Mans restent une superbe expérience. Même si nous n’avions pas eu autant de temps que nos rivaux pour tester l’ORECA 05-Nissan en amont, nous étions clairement dans le rythme et je suis très fier de la performance de l’écurie. Les mécaniciens et ingénieurs ont fait de l’excellent travail pour réparer la voiture.
Et n’oublions pas que nous luttions dans le top trois durant les six premières heures de course. Je tiens de nouveau à remercier très chaleureusement tous nos fans et j’espère revenir avec l’équipe l’an prochain. »
Matt Howson : « Le premier souci est survenu lorsque le « marshalling system » de la voiture a été heurté. Nous avons ensuite rencontré des problèmes électriques, qui ont entraîné une baisse de tension dans la batterie puis une perte de la direction assistée. Ceci a entraîné la sortie de piste de Richard, qui n’a pu ensuite redémarrer. Nous ne savons pas encore si les différents soucis sont liés les uns aux autres. L’équipe est en train d’analyser la situation.
Nous sommes évidemment déçus, d’autant que nous jouions la victoire en LMP2. Je ne remercierai jamais assez KCMG pour les efforts fournis. Je suis convaincu que notre heure viendra de nouveau. C’était formidable de retrouver les 24 Heures du Mans, encore plus après le superbe relais d’ouverture de Richard qui nous a permis d’effectuer un bond au classement depuis la neuvième place. Nous en avions encore sous le pied, mais c’est déjà satisfaisant de démontrer à nouveau que KCMG reste un top team en LMP2. »
Richard Bradley : « C’est bien sûr rageant et l’on peut toujours ruminer en se focalisant sur le négatif mais cela n’apportera rien. Pour notre première course cette saison, avec moins de préparation que nos rivaux, nous étions très performants et avions une vraie chance de faire un podium.
Tout le monde a accompli un formidable travail et l’équipe peut en être heureuse. Forts de ce constat positif, nous pouvons maintenant nous concentrer sur l’avenir. »