Le début de votre parcours © O. Jennequin – www.racingforever.com
L’été est non seulement l’occasion de se poser sur une plage de sable fin au soleil, mais aussi celui de visiter des musées, lorsque les nuages décident de faire leur apparition.
A cette occasion, il est possible d’allier musée et passion pour les sports mécaniques en allant visiter le musée des 24 Heures du Mans. Situé à l’entrée du circuit, il vous permettra au travers d’un voyage dans le temps, de voir de nombreux bolides qui ont participé à la plus grande course d’endurance du Monde.
Votre visite dans les 350 m² d’exposition débutera par tenues, casques et divers objets ayant fait l’histoire des 24 Heures du Mans, comme les tenues de Fernando Alonso et de Tom Kristensen. Ou bien encore comme de fiches d’inscription, carnets de pesage…
Après avoir admiré le trophée des 24 Heures du Mans, vous arriverez dans une salle où des miniatures de toutes les voitures ayant participé à la course sont regroupées par année, cela autour d’une Chenard & Walcker Type « Sport » 3L de 1923.
A cette occasion, il est possible d’allier musée et passion pour les sports mécaniques en allant visiter le musée des 24 Heures du Mans. Situé à l’entrée du circuit, il vous permettra au travers d’un voyage dans le temps, de voir de nombreux bolides qui ont participé à la plus grande course d’endurance du Monde.
Votre visite dans les 350 m² d’exposition débutera par tenues, casques et divers objets ayant fait l’histoire des 24 Heures du Mans, comme les tenues de Fernando Alonso et de Tom Kristensen. Ou bien encore comme de fiches d’inscription, carnets de pesage…
Après avoir admiré le trophée des 24 Heures du Mans, vous arriverez dans une salle où des miniatures de toutes les voitures ayant participé à la course sont regroupées par année, cela autour d’une Chenard & Walcker Type « Sport » 3L de 1923.
Les Matra-Simca mythiques © O. Jennequin – www.racingforever.com
Vous remonterez ensuite le temps par décennie, en commençant par les années 1920. Une fois arrivés dans les années 1930, vous pourrez admirer une superbe Simca 5 Gordini au bleu si distinctif. Un peu plus loin, vous trouverez une adorable 4 CV Renault engagée au Mans en 1950 ou encore une magnifique Lotus « XI » de 1956.
La fin des années 60 permettra d’arriver à la fabuleuse époque Matra-Simca, avec la MS630 de Pescarolo et Servoz-Gavin. On pourra ensuite voir les barquettes MS 670 dont celle victorieuse en 1973 avec Pescarolo et Larousse. Entre temps, vous vous serez arrêtés pour observer dans les moindres détails la magnifique Porsche 917 aux couleurs de Martini avec son 12 cylindres et ses 520 cv lui permettant d’avoir une vitesse de pointe à 388 km/h.
Si vous continuez d’avancer dans le temps vous tomberez face à une Renault Alpine A442, que beaucoup d’enfants de ma génération ont connu comme voiture sur les circuits 24. L’exemplaire présenté aux couleurs de Renault et Calberson était engagée en 1978 pour Jean Ragnotti, Guy Fréquelin.
La fin des années 60 permettra d’arriver à la fabuleuse époque Matra-Simca, avec la MS630 de Pescarolo et Servoz-Gavin. On pourra ensuite voir les barquettes MS 670 dont celle victorieuse en 1973 avec Pescarolo et Larousse. Entre temps, vous vous serez arrêtés pour observer dans les moindres détails la magnifique Porsche 917 aux couleurs de Martini avec son 12 cylindres et ses 520 cv lui permettant d’avoir une vitesse de pointe à 388 km/h.
Si vous continuez d’avancer dans le temps vous tomberez face à une Renault Alpine A442, que beaucoup d’enfants de ma génération ont connu comme voiture sur les circuits 24. L’exemplaire présenté aux couleurs de Renault et Calberson était engagée en 1978 pour Jean Ragnotti, Guy Fréquelin.
La célèbre Peugeot 905 © O. Jennequin – www.racingforever.com
Après avoir vu la Rondeau de 1977 pilotée par Lella Lombardi et "Christine" aux couleurs d’Inaltéra, fabricant de papiers peints, vous verrez ensuite deux autres Rondeau, une M382 et une M379C aux couleurs du Figaro.
A côté, la Cougar C01 de 1982 aux couleurs de Primagaz, l’une des premières voitures fabriquées par Yves Courage et qui ouvrira la voie à de nombreuses autres sur les décennies qui suivent. L’occasion de débuter les années 1980 durant lesquelles les monstres de la route vont s’enchaîner, comme la Porsche 956 de 1982 de Ickx et Bell. La Jaguar engagée par TWR aux couleurs de Silk Cut et aux roues arrière carénées.
La Mazda 787B et son moteur rotatif (victorieuse en 1991) vous fera entrer dans les années 1990, avec entre autres la Peugeot 905 de Dalmas, Warwick, et Blundell. Cette décennie marque aussi celle d’importants changements dans la réglementation, c’est ainsi que l’on peut retrouver un exemplaire d’une McLaren F1 GTR engagée au Mans en 1995 par BBA Compétition La monstrueuse Porsche 911 GT1 vainqueur des 24 Heures du Mans 1998 est également présente.
A côté, la Cougar C01 de 1982 aux couleurs de Primagaz, l’une des premières voitures fabriquées par Yves Courage et qui ouvrira la voie à de nombreuses autres sur les décennies qui suivent. L’occasion de débuter les années 1980 durant lesquelles les monstres de la route vont s’enchaîner, comme la Porsche 956 de 1982 de Ickx et Bell. La Jaguar engagée par TWR aux couleurs de Silk Cut et aux roues arrière carénées.
La Mazda 787B et son moteur rotatif (victorieuse en 1991) vous fera entrer dans les années 1990, avec entre autres la Peugeot 905 de Dalmas, Warwick, et Blundell. Cette décennie marque aussi celle d’importants changements dans la réglementation, c’est ainsi que l’on peut retrouver un exemplaire d’une McLaren F1 GTR engagée au Mans en 1995 par BBA Compétition La monstrueuse Porsche 911 GT1 vainqueur des 24 Heures du Mans 1998 est également présente.
La Toyota vainqueur en 2020 © O. Jennequin – www.racingforever.com
Les barquettes font leurs retours dans les années 2000, avec la période de domination de Audi. On retrouvera cependant de nombreux adversaires de la marque aux anneaux, comme la Pescarolo de 2003 de Boullion, Lagorce et Sarrazin. La Peugeot 908 n°7 de 2009 présentée au musée est celle qui a terminée troisième.
Les dernières années de votre parcours vous permettront de voir une Audi R18 e-tron quattro engagée en 2016, une Nissan GT-R LM Nismo avec son moteur et la transmission à l’avant. Les Porsche 919 Hybrid n°2 de Bernhard, Bamber, et Hartley et celle vainqueur du Mans en 2016 de Dumas, Jani et Lieb.
Vous terminerez cette magnifique exposition par la Toyota TS050 Hybrid, vainqueur en 2020 avec Buemi, Nakajima et Hartley au volant. Celle-ci est dans son état d’arrivée à la fin de la course, couverte de résine pour immortaliser les stigmates de 24 Heures sur le circuit.
Le Musée des 24 Heures du Mans mérite le détour si vous êtes de passage dans la région en direction de la Bretagne. Le plein tarif est à seulement dix euros, une somme très raisonnable de nos jours pour une telle exposition. Il est ouvert tous les jours de 10h à 19h du 1er mai au 30 septembre et de 10h à 18h le reste de l'année. Le musée est fermé le 25 décembre et le 01 janvier.
Retrouvez d'autres photos en cliquant ici.
Les dernières années de votre parcours vous permettront de voir une Audi R18 e-tron quattro engagée en 2016, une Nissan GT-R LM Nismo avec son moteur et la transmission à l’avant. Les Porsche 919 Hybrid n°2 de Bernhard, Bamber, et Hartley et celle vainqueur du Mans en 2016 de Dumas, Jani et Lieb.
Vous terminerez cette magnifique exposition par la Toyota TS050 Hybrid, vainqueur en 2020 avec Buemi, Nakajima et Hartley au volant. Celle-ci est dans son état d’arrivée à la fin de la course, couverte de résine pour immortaliser les stigmates de 24 Heures sur le circuit.
Le Musée des 24 Heures du Mans mérite le détour si vous êtes de passage dans la région en direction de la Bretagne. Le plein tarif est à seulement dix euros, une somme très raisonnable de nos jours pour une telle exposition. Il est ouvert tous les jours de 10h à 19h du 1er mai au 30 septembre et de 10h à 18h le reste de l'année. Le musée est fermé le 25 décembre et le 01 janvier.
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