Jour 1 :
Dès le début du rallye d'Espagne, des inquiétudes sur la visibilité en raison de la poussière apparaissent chez la majorité des pilotes. Ayant le désavantage d'ouvrir la route sur du gravier, Sébastien Ogier n'est cependant pas touché par ce problème, ce qui lui permet rapidement de se créer une avance sur Neuville et Ostberg, tandis que Mikkelsen et Latvala souffrent de ce manque de visibilité.
Thierry Neuville va ensuite connaître un coup du sort avec une crevaison l'après-midi, cela profite à Latvala qui remonte à la seconde place, mais il a plus de 36s à rattraper pour espérer garder ses espoirs de titre vivants. Ostberg et Mikkelsen terminent la journée dans un mouchoir de poche aux 3ème et 4ème places à 37s du leader Sébastien Ogier.
Jour 2 :
Latvala n'a plus grand hcose à perdre, et il le sait puisqu'il se lance à l'attaque de Ogier. Sur l'asphalte, il met la pression à son équipier et revient à 28s en fin de matinée. Ostberg de son coté a chuté à la 5ème place après s'être fait passé par Hirvonen et Mikkelsen.
L'après-midi, Latvala ne va pas parvenir à reprendre du temps sur Ogier, le Français termine la journée avec 27s d'avance sur son équipier. Mikkelsen, 4ème le matin, va perdre de précieuses secondes suite à une crevaison. Hirvonen est donc désormais isolé en 3ème position, devant Ostberg, Sordo et Neuville.
Jour 3 :
L'objectif est simple pour Sébastien Ogier en abordant cette dernière jouyrnée du rallye d'Espagne, maintenir son avance sur son équipier Latvala pour remporter le titre. La pression est donc forte sur les épaules du Français, mais Ogier garde son calme et termine la matinée avec une avance supérieure à 20s sur Latvala.
Latvala va donc se lancer à fond dans les deux dernières spéciales de la journée, il parvient à réduire l'avance un peu moins de 14s avant l'ultime chrono.
Le Français ne concèdera que deux secondes supplémentaires dans la powerstage, lui permettant ainsi non seulement de remporter le rallye d'Espane avec plus de onze secondes d'avance sur Latvala, mais surtout de remporter son deuxième titre pilote de Champion du Monde WRC d'affilé. Hirvonen complète le podium devant Ostberg, Sordo et Neuville.
Dès le début du rallye d'Espagne, des inquiétudes sur la visibilité en raison de la poussière apparaissent chez la majorité des pilotes. Ayant le désavantage d'ouvrir la route sur du gravier, Sébastien Ogier n'est cependant pas touché par ce problème, ce qui lui permet rapidement de se créer une avance sur Neuville et Ostberg, tandis que Mikkelsen et Latvala souffrent de ce manque de visibilité.
Thierry Neuville va ensuite connaître un coup du sort avec une crevaison l'après-midi, cela profite à Latvala qui remonte à la seconde place, mais il a plus de 36s à rattraper pour espérer garder ses espoirs de titre vivants. Ostberg et Mikkelsen terminent la journée dans un mouchoir de poche aux 3ème et 4ème places à 37s du leader Sébastien Ogier.
Jour 2 :
Latvala n'a plus grand hcose à perdre, et il le sait puisqu'il se lance à l'attaque de Ogier. Sur l'asphalte, il met la pression à son équipier et revient à 28s en fin de matinée. Ostberg de son coté a chuté à la 5ème place après s'être fait passé par Hirvonen et Mikkelsen.
L'après-midi, Latvala ne va pas parvenir à reprendre du temps sur Ogier, le Français termine la journée avec 27s d'avance sur son équipier. Mikkelsen, 4ème le matin, va perdre de précieuses secondes suite à une crevaison. Hirvonen est donc désormais isolé en 3ème position, devant Ostberg, Sordo et Neuville.
Jour 3 :
L'objectif est simple pour Sébastien Ogier en abordant cette dernière jouyrnée du rallye d'Espagne, maintenir son avance sur son équipier Latvala pour remporter le titre. La pression est donc forte sur les épaules du Français, mais Ogier garde son calme et termine la matinée avec une avance supérieure à 20s sur Latvala.
Latvala va donc se lancer à fond dans les deux dernières spéciales de la journée, il parvient à réduire l'avance un peu moins de 14s avant l'ultime chrono.
Le Français ne concèdera que deux secondes supplémentaires dans la powerstage, lui permettant ainsi non seulement de remporter le rallye d'Espane avec plus de onze secondes d'avance sur Latvala, mais surtout de remporter son deuxième titre pilote de Champion du Monde WRC d'affilé. Hirvonen complète le podium devant Ostberg, Sordo et Neuville.