Le tour auto 2022 et les belles autos au départ (Photo Mickael Denis)
Pour sa 31e édition, le Tour Auto, organisé par Peter Auto, est parti depuis Paris et vient d'arriver en Andorre. Tout au long de son parcours, le succès a été populaire et les amateurs ont pu profiter de voir "nos anciennes" sur les routes ou les parcs d'assistances.
232 concurrents étaient engagés dans cette édition avec un parcours passant par des villes étapes comme La Baule, Limoges, Bordeaux, Pau pour arriver finalement en Andorre via les Pyrénées.
A chaque fois, beaucoup de spectateurs pour voir des voitures principalement des années 60 et 70 : Chevrolet corvette, Alpine, Matra, Porsche, Alfa Roméo, De Tomaso, Jaguar... on en passe et des meilleurs.
Sur le plan sportif, le Tour auto propose un classement : cette année il faut retenir l'équipage Boutsen Ordioni sur Shelby Cobra 289 de 1963.
Mais est-ce vraiment le plus important ? Car ici l'aventure humaine est la plus belle récompense.
232 concurrents étaient engagés dans cette édition avec un parcours passant par des villes étapes comme La Baule, Limoges, Bordeaux, Pau pour arriver finalement en Andorre via les Pyrénées.
A chaque fois, beaucoup de spectateurs pour voir des voitures principalement des années 60 et 70 : Chevrolet corvette, Alpine, Matra, Porsche, Alfa Roméo, De Tomaso, Jaguar... on en passe et des meilleurs.
Sur le plan sportif, le Tour auto propose un classement : cette année il faut retenir l'équipage Boutsen Ordioni sur Shelby Cobra 289 de 1963.
Mais est-ce vraiment le plus important ? Car ici l'aventure humaine est la plus belle récompense.
Thierry Boutsen est un ancien pilote de F1 qui a connu le succès en Benetton et Williams dans les années 80 et 90. Pour sa 3e participation il aura mené le Tour Auto du début jusqu'à la fin.
Pourtant, il aura connu une péripétie le faisant perdre du temps en gironde mais la Shelby est une dure à cuire.
Dans le classement de régularité, Jean-Jacques Martens et Aswin Pyck s'imposent sur une Volvo PV 444 de 1957.
Pourtant, il aura connu une péripétie le faisant perdre du temps en gironde mais la Shelby est une dure à cuire.
Dans le classement de régularité, Jean-Jacques Martens et Aswin Pyck s'imposent sur une Volvo PV 444 de 1957.
Il faut bichonner les anciennes (Photo Mickael Denis)
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