Il a 16 ans et son expérience de la course automobile se limite à deux meetings, huit départs mais déjà deux podiums. Dans la foulée de tests prometteurs, le jeune Toulousain Paul Cauhaupé va s’attaquer cette année à l’Alpine Elf Europa Cup avec l’équipe Autosport GP championne en titre !
Dans la famille Cauhaupé, je demande le cadet ! On commence à bien connaitre Edouard, qui en trois saisons a disputé six championnats complets en GT4 ou LMP3 et s’est classé cinq fois dans les trois premiers. Son frère Paul frappe à son tour à la porte du sport auto après avoir montré une ébauche de son talent en karting, assisté aux cours d’une école de pilotage au volant d’une monoplace de F4 et obtenu ses premiers résultats concrets en Mitjet International.
Comme Edouard trois ans plus tôt, Paul a eu l’occasion de participer à deux meetings dans cette catégorie qui se singularise par des pelotons pléthoriques et des bagarres à couper le souffle. Sur le toboggan de Lédenon, il remporte sa première victoire dans la classe Junior. Deux autres suivront sur les 5,8 km du Paul Ricard, mais surtout, on voit apparaitre par deux fois son sourire masqué sur le podium du classement général.
Dans la famille Cauhaupé, je demande le cadet ! On commence à bien connaitre Edouard, qui en trois saisons a disputé six championnats complets en GT4 ou LMP3 et s’est classé cinq fois dans les trois premiers. Son frère Paul frappe à son tour à la porte du sport auto après avoir montré une ébauche de son talent en karting, assisté aux cours d’une école de pilotage au volant d’une monoplace de F4 et obtenu ses premiers résultats concrets en Mitjet International.
Comme Edouard trois ans plus tôt, Paul a eu l’occasion de participer à deux meetings dans cette catégorie qui se singularise par des pelotons pléthoriques et des bagarres à couper le souffle. Sur le toboggan de Lédenon, il remporte sa première victoire dans la classe Junior. Deux autres suivront sur les 5,8 km du Paul Ricard, mais surtout, on voit apparaitre par deux fois son sourire masqué sur le podium du classement général.
Paul Cauhaupe
Suite à ces performances, la réflexion s’engage pour dessiner l’avenir. L’occasion se présente en novembre dernier de découvrir l’Alpine A110 Cup sur le circuit de Magny-Cours.
« Il pleuvait beaucoup et je n’ai roulé que sous la pluie » indique Paul. « J’ai trouvé la voiture agile, très sympa à conduire. J’ai été un peu dérouté par l’ABS, que je n’avais jamais expérimenté auparavant. »
Paul est retourné à Magny-Cours dimanche 27 et lundi 28 février, où il a pu améliorer sa connaissance de l’Alpine, sur piste sèche cette fois.
« L’ingénieur qui s’est occupé de moi pendant ces deux jours avait élaboré un programme précis pour optimiser mon approche de la voiture. D’abord le freinage, puis les trajectoires et l’accélération, qui nécessite une technique spécifique du fait du turbo. Nous avons aussi travaillé sur l’exploitation du pneu neuf.
Au final, j’ai parcouru plus de 500 kilomètres, je comprends mieux la voiture, j’ai progressé dans tous les domaines, mais je peux encore gagner du temps un peu partout. Nous avons prévu une autre séance à Nogaro pour bien préparer la première épreuve. Je m’attends à une lutte serrée et à une forte concurrence.
Mon objectif est d’apprendre, de gagner en expérience et de briller dans la catégorie Junior. Avec Autosport GP, je bénéficierai d’un environnement propice pour y parvenir. »
« Il pleuvait beaucoup et je n’ai roulé que sous la pluie » indique Paul. « J’ai trouvé la voiture agile, très sympa à conduire. J’ai été un peu dérouté par l’ABS, que je n’avais jamais expérimenté auparavant. »
Paul est retourné à Magny-Cours dimanche 27 et lundi 28 février, où il a pu améliorer sa connaissance de l’Alpine, sur piste sèche cette fois.
« L’ingénieur qui s’est occupé de moi pendant ces deux jours avait élaboré un programme précis pour optimiser mon approche de la voiture. D’abord le freinage, puis les trajectoires et l’accélération, qui nécessite une technique spécifique du fait du turbo. Nous avons aussi travaillé sur l’exploitation du pneu neuf.
Au final, j’ai parcouru plus de 500 kilomètres, je comprends mieux la voiture, j’ai progressé dans tous les domaines, mais je peux encore gagner du temps un peu partout. Nous avons prévu une autre séance à Nogaro pour bien préparer la première épreuve. Je m’attends à une lutte serrée et à une forte concurrence.
Mon objectif est d’apprendre, de gagner en expérience et de briller dans la catégorie Junior. Avec Autosport GP, je bénéficierai d’un environnement propice pour y parvenir. »
Autosport GP a en effet décroché les titres 2020 et 2021 de l’Alpine Elf Europa Cup avec Jean-Baptiste Mela. C’est avec cette équipe que Lilou Wadoux s’est révélée au point d’être promue cette année en championnat du Monde d’Endurance avec Sébastien Ogier et Charles Milesi pour coéquipiers.
Elle a piloté en 2021 l’Alpine aux couleurs du célèbre chocolatier Patrick Roger, qui sera confiée à Paul Cauhaupé en 2022.
« Notre équipe a affirmé ses compétences au niveau des jeunes pilotes que nous avons contribué à former » souligne le team-manager Gilles Zaffini.
« Naturellement, ce genre de travail est d’autant plus intéressant quand le pilote arrive avec certaines qualités. Dans le cas de Paul on sait déjà qu’il a la vitesse pure et de très bonnes dispositions pour se faire une place dans le peloton. »
La descendante de la légendaire Berlinette A110 a débuté sa carrière en circuit en 2018, peu après le lancement de la version routière. L’édition 2022 de l’Alpine Elf Europa Cup passera par Nogaro, Magny-Cours avant de franchir les frontières pour se rendre à Zandvoort, Barcelone, Monza et de revenir en France pour le final sur le circuit Paul Ricard. De quoi se faire un prénom dans l’univers du sport auto international !
D'après le communiqué officiel - Romane Didier - Future Racing
Elle a piloté en 2021 l’Alpine aux couleurs du célèbre chocolatier Patrick Roger, qui sera confiée à Paul Cauhaupé en 2022.
« Notre équipe a affirmé ses compétences au niveau des jeunes pilotes que nous avons contribué à former » souligne le team-manager Gilles Zaffini.
« Naturellement, ce genre de travail est d’autant plus intéressant quand le pilote arrive avec certaines qualités. Dans le cas de Paul on sait déjà qu’il a la vitesse pure et de très bonnes dispositions pour se faire une place dans le peloton. »
La descendante de la légendaire Berlinette A110 a débuté sa carrière en circuit en 2018, peu après le lancement de la version routière. L’édition 2022 de l’Alpine Elf Europa Cup passera par Nogaro, Magny-Cours avant de franchir les frontières pour se rendre à Zandvoort, Barcelone, Monza et de revenir en France pour le final sur le circuit Paul Ricard. De quoi se faire un prénom dans l’univers du sport auto international !
D'après le communiqué officiel - Romane Didier - Future Racing
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