La 89e édition des 24 heures du Mans a été remportée par Toyota qui réalise un doublé pour la première fois dans la catégorie Hypercar.
Mike Conway, Kamui Kobayashi et José María López, sur le GR010 HYBRID #7, ont finalement remporté Le Mans pour la première fois. Les champions du monde sont partis de la pole position et ont mené pendant la majeure partie de la course, complétant 371 tours. Alpine, son principal concurrent obtient la 3e place du podium.
Comme souvent, a catégorie LMP2 a été disputée et c'est finalement sur la ligne d'arrivée que le TEAM WRT remporte la victoire avec....
En GTE, Ferrari triomphe aussi bien en catégorie Pro que AM. Une année faste pour la marque italienne.
Mike Conway, Kamui Kobayashi et José María López, sur le GR010 HYBRID #7, ont finalement remporté Le Mans pour la première fois. Les champions du monde sont partis de la pole position et ont mené pendant la majeure partie de la course, complétant 371 tours. Alpine, son principal concurrent obtient la 3e place du podium.
Comme souvent, a catégorie LMP2 a été disputée et c'est finalement sur la ligne d'arrivée que le TEAM WRT remporte la victoire avec....
En GTE, Ferrari triomphe aussi bien en catégorie Pro que AM. Une année faste pour la marque italienne.
La toute première en Hypercar pour Toyota
TOYOTA GAZOO Racing a remporté une quatrième victoire historique et spectaculaire aux 24 Heures du Mans, surmontant l'adversité pour devenir le premier vainqueur Hypercar sur le Circuit de la Sarthe.
Même avec le statut de favoris, tout n'était pas écrit d'avance dans le scénario de la victoire. La pluie au départ fut déjà un ennemi à dompter et dès le départ la numéro 8 se faisait shooter par la Glickenhaus conduite par Olivier Pla qui ratait son freinage à Dunlop.
Malgré de tels déboires et quelques autres péripéties comme le retour de la pluie à la 6e heure, Toyota avait toutefois la course bien en main durant la nuit avec l'Alpine en 3eme position à plus d'un tour. La numéro 8 est rapidement revenu en 2e position et les 2 équipages ont fait le rythme en tête.
Les nerfs étaient à rude épreuve dans le garage à l'approche du dernier quart de la course. Un problème sur le système d'alimentation de la voiture n°8 l'a empêchée d'effectuer des relais complets. Les arrêts de carburant étaient beaucoup plus tôt que prévu et l'équipe travaillait intensément pour trouver une solution.
Avec quatre tours d'avance sur l'Alpine dans la matinée de dimanche, et aucune perspective de réparation rapide, plusieurs options ont été testées jusqu'à qu'une permette de se rassurer. Les pilotes devaient activer un réglage spécifique à des points définis autour de la piste pour ramener la voiture n°8 à des longueurs de relais normales.
Cela s'est avéré encore plus crucial lorsque le #7 a développé un problème similaire. Kamui puis José ont pu gérer rapidement la situation et conserver une confortable avance. Une communication étroite entre les pilotes et les ingénieurs de course sur les deux voitures a permis de garder le problème sous contrôle.
Kamui et Kazuki ont repris leurs voitures respectives pour le dernier relais et ont franchi la ligne ensemble pour entrer dans l'histoire de l'Hypercar au Mans.
Même avec le statut de favoris, tout n'était pas écrit d'avance dans le scénario de la victoire. La pluie au départ fut déjà un ennemi à dompter et dès le départ la numéro 8 se faisait shooter par la Glickenhaus conduite par Olivier Pla qui ratait son freinage à Dunlop.
Malgré de tels déboires et quelques autres péripéties comme le retour de la pluie à la 6e heure, Toyota avait toutefois la course bien en main durant la nuit avec l'Alpine en 3eme position à plus d'un tour. La numéro 8 est rapidement revenu en 2e position et les 2 équipages ont fait le rythme en tête.
Les nerfs étaient à rude épreuve dans le garage à l'approche du dernier quart de la course. Un problème sur le système d'alimentation de la voiture n°8 l'a empêchée d'effectuer des relais complets. Les arrêts de carburant étaient beaucoup plus tôt que prévu et l'équipe travaillait intensément pour trouver une solution.
Avec quatre tours d'avance sur l'Alpine dans la matinée de dimanche, et aucune perspective de réparation rapide, plusieurs options ont été testées jusqu'à qu'une permette de se rassurer. Les pilotes devaient activer un réglage spécifique à des points définis autour de la piste pour ramener la voiture n°8 à des longueurs de relais normales.
Cela s'est avéré encore plus crucial lorsque le #7 a développé un problème similaire. Kamui puis José ont pu gérer rapidement la situation et conserver une confortable avance. Une communication étroite entre les pilotes et les ingénieurs de course sur les deux voitures a permis de garder le problème sous contrôle.
Kamui et Kazuki ont repris leurs voitures respectives pour le dernier relais et ont franchi la ligne ensemble pour entrer dans l'histoire de l'Hypercar au Mans.
Mike Conway (GR010 HYBRID #7) : « C'était une course difficile. Nous savions que nous avions un problème avec la voiture au cours des six dernières heures et que cela aurait pu être un très gros problème, mais l'équipe a trouvé une solution pour nous permettre de continuer.
Tout le mérite à eux d'avoir obtenu un doublé. C'est vraiment spécial dans les circonstances. Cette course n'est jamais facile. Même si vous êtes seul au front, tout peut arriver.
Je tiens à remercier mes coéquipiers pour leurs méga relais et leur travail acharné tout le temps, ainsi que l'équipe de Cologne et du Japon pour leur soutien et leur travail acharné qui ont rendu cela possible. Nous pouvons en profiter maintenant parce qu'un poids nous est enlevé.
Kamui Kobayashi (GR010 HYBRID #7) : « C'est un sentiment incroyable d'être ici en tant que vainqueur du Mans. Nous avons dû traverser tant d'expériences au fil des ans, dont certaines très difficiles, pour en arriver ici.
J'ai toujours su qu'au Mans, il fallait de la chance pour gagner et nous avions besoin d'un peu de chance aujourd'hui aussi. Nous avons dû faire une procédure spéciale juste pour continuer à fonctionner. Nous avons fait le maximum pour survivre pendant les sept dernières heures ; c'était un travail presque impossible.
Normalement, la course se terminait là pour nous, mais d'une manière ou d'une autre, nous avons survécu parce que l'équipe a travaillé très dur et a pris la bonne décision. Mes coéquipiers, l'équipe automobile et les ingénieurs ont fait un excellent travail pendant la semaine. Merci tout le monde."
José María López (GR010 HYBRID #7) : « Les dernières courses du Mans ont été assez difficiles pour nous en tant qu'équipage et remporter enfin cette course est un rêve devenu réalité. C'est tout simplement incroyable.
Nous sommes allés si loin pendant tant d'années mais, jusqu'à présent, nous ne pouvions pas gagner Le Mans. Toutes ces expériences rendent la victoire encore plus spéciale. Mike et Kamui sont comme des frères pour moi et je les ai vus faire des choses dans la voiture qui sont tout simplement incroyables.
Bien sûr, il y a une équipe solide derrière nous au Japon et à Cologne. Nous prenons la gloire mais nous ne pourrions pas le faire sans cette équipe. Merci à tous."
Alpine sur le podium Hypercar
Quarante-trois ans après sa victoire historique, Alpine monte sur le podium des 24 Heures du Mans dès son retour dans la catégorie reine de l’épreuve. Elle espérait viser la victoire, Toyota a rapidement douché leur espoirs. Alpine a toutefois fait bonne figure et a repoussé les Glickenhaus hors du podium.
La course a été émaillée de nombreux incidents mais Nicolas Lapierre, André Negrão et Matthieu Vaxiviere restent en lice pour le titre en Championnat du Monde FIA d’Endurance (FIA WEC).
Ce podium conclut de belle manière une quinzaine marquée par la parade exceptionnelle organisée par Alpine ayant vu les premiers tours de roues d’une Formule 1 sur le Circuit de la Sarthe.
Le départ sous la pluie était pour Nicolas Lapierre, qui tirait son épingle du jeu en réalisant un superbe dépassement sur la Toyota n°8 pour se hisser au deuxième rang.
Piégé à la réaccélération à la sortie d’Indianapolis, le Français entamait ensuite une remontée impressionnante depuis la dix-septième place en réintégrant le top dix en moins de deux boucles, puis le quinté de tête trois tours plus tard.
Sa série de meilleurs tours sur une trajectoire de plus en plus sèche lui permettait même de s’emparer des commandes avant son premier ravitaillement et son passage aux gommes slicks.
Ressorti cinquième, Nicolas Lapierre poursuivait ses efforts pour se stabiliser en troisième position après près de deux heures et demie d’action.
Malgré les embûches du circuit et plusieurs neutralisations peu favorables à l’écurie, André Negrão et Matthieu Vaxiviere jetaient également toutes leurs forces dans la bataille.
Le cadet de l’équipage devait toutefois composer avec un changement inopiné de bloc arrière en raison d’un problème de feux, puis une légère sortie de piste sans gravité à la première chicane des Hunaudières à 23h10.
S’il perdait plus de quatre minutes dans l’opération, le Français parvenait à repartir avant de transmettre le témoin à Nicolas Lapierre, à nouveau auteur d’une belle remontée jusqu’à la troisième place.
Dès lors, la dernière marche du podium devenait le théâtre d’un véritable bras de fer face à la Glickenhaus n°708.
L’écurie ajustait sa stratégie de pneumatiques en triplant les relais de ses pilotes pour préserver des gommes fraîches en vue du sprint final. Dans cet intense duel tactique rythmé par plusieurs passes d’armes rugueuses, le trio émergeait de la nuit en lice pour le podium.
L’équipage profitait d’une slow zone pour légèrement anticiper le retour en piste de Matthieu Vaxiviere. La décision s’avérait cruciale puisque le Français réalisait l’undercut sur son rival et déroulait son rythme pour reléguer son plus proche poursuivant à plus de deux minutes.
À trois heures de l’arrivée, Nicolas Lapierre lui succédait et enfonçait le clou en s’offrant le luxe de reprendre un tour de retard sur les leaders. L'Alpine #37 filait alors vers l'arrivée et une belle récompense pour tous les efforts fournis.
La course a été émaillée de nombreux incidents mais Nicolas Lapierre, André Negrão et Matthieu Vaxiviere restent en lice pour le titre en Championnat du Monde FIA d’Endurance (FIA WEC).
Ce podium conclut de belle manière une quinzaine marquée par la parade exceptionnelle organisée par Alpine ayant vu les premiers tours de roues d’une Formule 1 sur le Circuit de la Sarthe.
Le départ sous la pluie était pour Nicolas Lapierre, qui tirait son épingle du jeu en réalisant un superbe dépassement sur la Toyota n°8 pour se hisser au deuxième rang.
Piégé à la réaccélération à la sortie d’Indianapolis, le Français entamait ensuite une remontée impressionnante depuis la dix-septième place en réintégrant le top dix en moins de deux boucles, puis le quinté de tête trois tours plus tard.
Sa série de meilleurs tours sur une trajectoire de plus en plus sèche lui permettait même de s’emparer des commandes avant son premier ravitaillement et son passage aux gommes slicks.
Ressorti cinquième, Nicolas Lapierre poursuivait ses efforts pour se stabiliser en troisième position après près de deux heures et demie d’action.
Malgré les embûches du circuit et plusieurs neutralisations peu favorables à l’écurie, André Negrão et Matthieu Vaxiviere jetaient également toutes leurs forces dans la bataille.
Le cadet de l’équipage devait toutefois composer avec un changement inopiné de bloc arrière en raison d’un problème de feux, puis une légère sortie de piste sans gravité à la première chicane des Hunaudières à 23h10.
S’il perdait plus de quatre minutes dans l’opération, le Français parvenait à repartir avant de transmettre le témoin à Nicolas Lapierre, à nouveau auteur d’une belle remontée jusqu’à la troisième place.
Dès lors, la dernière marche du podium devenait le théâtre d’un véritable bras de fer face à la Glickenhaus n°708.
L’écurie ajustait sa stratégie de pneumatiques en triplant les relais de ses pilotes pour préserver des gommes fraîches en vue du sprint final. Dans cet intense duel tactique rythmé par plusieurs passes d’armes rugueuses, le trio émergeait de la nuit en lice pour le podium.
L’équipage profitait d’une slow zone pour légèrement anticiper le retour en piste de Matthieu Vaxiviere. La décision s’avérait cruciale puisque le Français réalisait l’undercut sur son rival et déroulait son rythme pour reléguer son plus proche poursuivant à plus de deux minutes.
À trois heures de l’arrivée, Nicolas Lapierre lui succédait et enfonçait le clou en s’offrant le luxe de reprendre un tour de retard sur les leaders. L'Alpine #37 filait alors vers l'arrivée et une belle récompense pour tous les efforts fournis.
Nicolas Lapierre :
« Nous avons ressenti un bel engouement autour de notre participation. Cette troisième place n’est pas à la hauteur de ce que nous espérions, mais c’est la meilleure position que nous puissions obtenir aujourd’hui. Toyota était plus forts que nous, nous devons l’accepter, les féliciter et travailler encore plus dur même si nous pouvons être fiers de ce que nous avons accompli pour une première participation aux 24 Heures du Mans dans la catégorie reine. »
Thriller LMP2
Pour sa première participation aux 24 Heures du Mans avec deux ORECA 07, le Team WRT a marqué les esprits ! A l’issue d’un scénario complètement fou, l’écurie belge remporte le LMP2.
À bord de l’ORECA 07 #31, le trio composé de Robin Frijns, Ferdinand Habsburg et Charles Milesi s’impose alors que le succès tendait les bras à la voiture sœur jusque dans les dernières secondes. En effet, la victoire de catégorie était promise à la #41 de Louis Deletraz, Yifei Ye et Robert Kubica mais celle-ci s’est immobilisée dans le dernier tour sur le bord de piste.
Pour WRT, la tension était énorme car il a fallu attendre les derniers mètres de l’épreuve pour que la seconde voiture scelle la victoire. Le trio vainqueur a dû résister à la #28 de Jota Sport pilotée par Sean Gelael, Stoffel Vandoorne et Tom Blomqvist. Moins d’une seconde a séparé les deux autos après un double tour d’horloge de compétition !
L'ORECA 07 #65 de Panis Racing aux mains de Julien Canal, William Stevens et James Allen termine troisième.
En Pro/Am, DragonSpeed a pris les commandes de la catégorie le dimanche midi alors que le trio du RealTeam Racing composé de Norman Nato, Loic Duval et Esteban Garcia était solidement accroché à la tête de ce classement spécifique.
RealTeam Racing termine finalement à la troisième place, derrière Racing Team Nederland, qui a également pointé un temps aux commandes.
À bord de l’ORECA 07 #31, le trio composé de Robin Frijns, Ferdinand Habsburg et Charles Milesi s’impose alors que le succès tendait les bras à la voiture sœur jusque dans les dernières secondes. En effet, la victoire de catégorie était promise à la #41 de Louis Deletraz, Yifei Ye et Robert Kubica mais celle-ci s’est immobilisée dans le dernier tour sur le bord de piste.
Pour WRT, la tension était énorme car il a fallu attendre les derniers mètres de l’épreuve pour que la seconde voiture scelle la victoire. Le trio vainqueur a dû résister à la #28 de Jota Sport pilotée par Sean Gelael, Stoffel Vandoorne et Tom Blomqvist. Moins d’une seconde a séparé les deux autos après un double tour d’horloge de compétition !
L'ORECA 07 #65 de Panis Racing aux mains de Julien Canal, William Stevens et James Allen termine troisième.
En Pro/Am, DragonSpeed a pris les commandes de la catégorie le dimanche midi alors que le trio du RealTeam Racing composé de Norman Nato, Loic Duval et Esteban Garcia était solidement accroché à la tête de ce classement spécifique.
RealTeam Racing termine finalement à la troisième place, derrière Racing Team Nederland, qui a également pointé un temps aux commandes.
GTE pro
Vainqueurs en 2019, Alessandro Pier Guidi et James Calado ont mené la majeure partie de la course. Avec Côme Ledogar, ils remportent une brillante victoire. Côme Ledogar et Pier Guidi, avaient déjà remporté fin juillet les fameuses 24 heures du Mans en GT3.
Pour le français, c'est son premier triomphe au Mans.
Le trio s'est battu pendant la majeure partie de la course contre la Corvette de Garcia-Taylor-Catsburg, obtenant un avantage décisif grâce à sa maîtrise supérieure des phases de neutralisation de la course.
Une fois de plus, la deuxième voiture d'AF Corse, pilotée par Miguel Molina, Daniel Serra et Sam Bird, n'a pas eu de chance. La voiture n°52 était bien en lice pour la victoire finale avant de devoir rentrer au stand en raison d'un problème de suspension lors du relais de l'Espagnol à 10 heures de la fin.
Puis, une crevaison au Tertre Rouge lors du relais de Sam Bird a entraîné un autre long arrêt pour la Ferrari, qui a ensuite dû se contenter de la cinquième place.
C'est la quatrième victoire d'AF Corse dans la catégorie LMGTE Pro après leurs victoires en 2012, 2014 et 2019. C'est le 38e triomphe du Cheval Cabré aux 24 Heures. du Mans, avec 29 victoires de catégorie et neuf au classement général. C'est aussi la troisième victoire de la 488 GTE dans la classique française.
Pour le français, c'est son premier triomphe au Mans.
Le trio s'est battu pendant la majeure partie de la course contre la Corvette de Garcia-Taylor-Catsburg, obtenant un avantage décisif grâce à sa maîtrise supérieure des phases de neutralisation de la course.
Une fois de plus, la deuxième voiture d'AF Corse, pilotée par Miguel Molina, Daniel Serra et Sam Bird, n'a pas eu de chance. La voiture n°52 était bien en lice pour la victoire finale avant de devoir rentrer au stand en raison d'un problème de suspension lors du relais de l'Espagnol à 10 heures de la fin.
Puis, une crevaison au Tertre Rouge lors du relais de Sam Bird a entraîné un autre long arrêt pour la Ferrari, qui a ensuite dû se contenter de la cinquième place.
C'est la quatrième victoire d'AF Corse dans la catégorie LMGTE Pro après leurs victoires en 2012, 2014 et 2019. C'est le 38e triomphe du Cheval Cabré aux 24 Heures. du Mans, avec 29 victoires de catégorie et neuf au classement général. C'est aussi la troisième victoire de la 488 GTE dans la classique française.
GTE AM
AF Corse et Ferrari peuvent également se réjouir de remporter la catégorie AM du GTE avec Nicklas Nielsen, François Perrodo et Alessio Rovera qui ont fait preuve de lucidité, de culot et de talent pour remporter la première victoire d'AF Corse dans cette catégorie.
Malgré une pénalité de drive-through, ils ont poursuivis leur chemin en s'appuyant sur le rythme d'Alessio Rovera et ont finalement remporter la catégorie face à l'Aston Martin Vantage de TF Sport avec 1 tour d'avance.
La 488 GTE #80 d'Iron Lynx avec Rino Mastronardi et Matteo Cressoni et Callum Ilott complètent le podium.
Malgré une pénalité de drive-through, ils ont poursuivis leur chemin en s'appuyant sur le rythme d'Alessio Rovera et ont finalement remporter la catégorie face à l'Aston Martin Vantage de TF Sport avec 1 tour d'avance.
La 488 GTE #80 d'Iron Lynx avec Rino Mastronardi et Matteo Cressoni et Callum Ilott complètent le podium.
Résultats
https://live.24h-lemans.com/fr/live
Hypercar et général
#7 – Toyota GR010 – Conway, Kobayashi, Lopez – 371 tours
#8 – Toyota GR010 – Buemi, Nakajima, Hartley + 2 tours
#36 – Alpine A480 – Negrao, Lapierre, Vaxivière + 4 tours
LMP2
#31 – WRT – Frijns, Habsburg, Milesi + 8 tours
#28 – Jota – Gelael, Vandoorne, Blomqvist + 8 tours
#65 – Panis – Canal, Stevens, Allen + 9 tours
[LMP2 Pro AM]
#21 – Oreca (Dragonspeed) – Hedman, Hanley, Montoya + 15 tours
GTE Pro
#51 – Ferrari 488 Evo (AF Corse) – Pier Guidi, Calado, Ledogar + 26 tours
#63 – Corvette C8.R (Corvette) – Garcia, Taylor, Catsburg + 26 tours
#92 – Porsche 911 RSR (Porsche) – Estre, Jani, Christensen + 27 tours
GTE Am
#83 – AF Corse Ferrari 488 Evo – Perrodo, Nielsen, Rovera + 31 tours
#33 – TF Sport Aston Martin Vantage – Keating, Pereira, Fraga + 32 tours
#80 – AF Corse Ferrari 488 Evo – Cressoni, Mastronardi, Illot + 33 tours
Source : Toyota, Alpine, Oreca, Ferrari
Hypercar et général
#7 – Toyota GR010 – Conway, Kobayashi, Lopez – 371 tours
#8 – Toyota GR010 – Buemi, Nakajima, Hartley + 2 tours
#36 – Alpine A480 – Negrao, Lapierre, Vaxivière + 4 tours
LMP2
#31 – WRT – Frijns, Habsburg, Milesi + 8 tours
#28 – Jota – Gelael, Vandoorne, Blomqvist + 8 tours
#65 – Panis – Canal, Stevens, Allen + 9 tours
[LMP2 Pro AM]
#21 – Oreca (Dragonspeed) – Hedman, Hanley, Montoya + 15 tours
GTE Pro
#51 – Ferrari 488 Evo (AF Corse) – Pier Guidi, Calado, Ledogar + 26 tours
#63 – Corvette C8.R (Corvette) – Garcia, Taylor, Catsburg + 26 tours
#92 – Porsche 911 RSR (Porsche) – Estre, Jani, Christensen + 27 tours
GTE Am
#83 – AF Corse Ferrari 488 Evo – Perrodo, Nielsen, Rovera + 31 tours
#33 – TF Sport Aston Martin Vantage – Keating, Pereira, Fraga + 32 tours
#80 – AF Corse Ferrari 488 Evo – Cressoni, Mastronardi, Illot + 33 tours
Source : Toyota, Alpine, Oreca, Ferrari