Le pilote de la Hyundai Veloster 100% électrique joue les premiers rôles en ETCR, la Coupe du monde FIA de eTouring car. Il adore la discipline et ne cache pas son impatience à y courir dans les rues de Pau.
« La première fois où j’ai roulé à Pau-ville remonte à 2005. Cela ne nous rajeunit pas. C’était en Formule Campus. Les choses s’étaient plutôt bien passées, j’avais gagnéune course et finit deuxième de l’autre.
J’adore me rendre sur ce circuit car j’y ai toujours été performant mais ce n’est pas la seule raison : la ville est belle, la vue sur les Pyrénées est magnifique, la région me plait et on peut avoir une belle proximité avec les spectateurs qui sont de véritables connaisseurs. Ils interpellent les pilotes, suivent leur carrière depuis longtemps, leur rappellent des souvenirs d’autres catégories.
Les gens sont sympathiques et l’ambiance est vraiment bonne. Il est simplement dommage que la météo soit parfois… compliquée. On aimerait qu’il fasse grand beau à chaque fois ! Mais c’est toujours un plaisir de rouler à Pau.
Je me souviens de la F3 aussi : en tant que spectateur, c’était fantastique de voir débouler Lewis Hamilton ou Nico Rosberg dans l’enchaînement rapide du Parc Beaumont pour arriver sur la chicane Foch. Cette année-là, je roulais en Campus et pour tout jeune
pilote débutant, l’objectif était, bien sûr, de participer au Grand Prix de Pau en F3, un jour. Je l’ai fait.
En Porsche Carrera Cup également, pour mes débuts en course dans une voiture fermée.
« La première fois où j’ai roulé à Pau-ville remonte à 2005. Cela ne nous rajeunit pas. C’était en Formule Campus. Les choses s’étaient plutôt bien passées, j’avais gagnéune course et finit deuxième de l’autre.
J’adore me rendre sur ce circuit car j’y ai toujours été performant mais ce n’est pas la seule raison : la ville est belle, la vue sur les Pyrénées est magnifique, la région me plait et on peut avoir une belle proximité avec les spectateurs qui sont de véritables connaisseurs. Ils interpellent les pilotes, suivent leur carrière depuis longtemps, leur rappellent des souvenirs d’autres catégories.
Les gens sont sympathiques et l’ambiance est vraiment bonne. Il est simplement dommage que la météo soit parfois… compliquée. On aimerait qu’il fasse grand beau à chaque fois ! Mais c’est toujours un plaisir de rouler à Pau.
Je me souviens de la F3 aussi : en tant que spectateur, c’était fantastique de voir débouler Lewis Hamilton ou Nico Rosberg dans l’enchaînement rapide du Parc Beaumont pour arriver sur la chicane Foch. Cette année-là, je roulais en Campus et pour tout jeune
pilote débutant, l’objectif était, bien sûr, de participer au Grand Prix de Pau en F3, un jour. Je l’ai fait.
En Porsche Carrera Cup également, pour mes débuts en course dans une voiture fermée.
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Dans toutes les disciplines, ce tracé est très technique et difficile même si la moyenne horaire reste assez basse. Si le pilote ne conduit pas à la limite, il ne sera pas dans le coup mais s’il la dépasse, il finira dans le rail comme pour tous les circuits en ville où
la valeur de la voiture est un peu moins importante, au profit du bon pilotage.
Le tracé est un beau mélange, je le préfère même à Monaco. C’est un peu Macao sans les lignes droites, très étroit. Il y a beaucoup d’angles de freinages où l’auto a toujours un pneu en l’air, donc il est très facile de bloquer une roue et de mettre la voiture dans le mur. Le gauche du Pont Oscar avant l’épingle n’est pas simple.
L’enchaînement gauche-droite du Parc Beaumont à pleine vitesse, il faut quand même oser y aller ! Derrière, le virage Foch avec deux roues en l’air, c’est aussi beau à voir depuis l’intérieur de la voiture que de l’extérieur... Le petit goulet qui suit pour attaquer la descente, je n’en parle même pas ! Tout est compliqué et impressionnant.
Avec la Hyundai Veloster N 100 % électrique de l’ETCR, la Coupe du Monde FIA de eTouring Car, les « battles » promettent beaucoup de plaisir et d’adrénaline car l’an passé, grâce aux différentes stratégies et au surcroit de puissance temporaire du push to pass pour doubler, nous avons toujours assisté à des courses excitantes. Ce sera la même chose à Pau. Même sur ce circuit en ville, il y aura clairement des zones possibles de dépassement du fait de la réglementation technique. Les manches risquent d’être chaudes.
Plus encore qu’en Coupe du monde des voitures de tourisme du WTCR ! Ces nouveaux modèles 100% électriques et donc zéro émission à l’échappement sont vraiment plaisants à piloter. D’abord, ce sont des propulsions (roues arrière motrices), ce que les pilotes préfèrent par rapport à une traction à l’avant.
Et quand on met toute la puissance (environ 670 chevaux), les sensations à l’accélération sont tout bonnement incroyables. Pour un pilote de référence en GT qui n’est pas habitué, cela peut même faire peur au début. L’auto est un peu lourde (1800 kilos) et avec nos pneus retaillés, on manque encore un peu d’adhérence et de confiance sur les freinages mais les performances pures sont complètement ouf !
Parfois dans la voiture, je me marrais tout seul sous mon casque l’an passé, tellement je me faisais plaisir au volant. Même quand je ne gagnais pas, c’était des courses sympas à vivre ! »
la valeur de la voiture est un peu moins importante, au profit du bon pilotage.
Le tracé est un beau mélange, je le préfère même à Monaco. C’est un peu Macao sans les lignes droites, très étroit. Il y a beaucoup d’angles de freinages où l’auto a toujours un pneu en l’air, donc il est très facile de bloquer une roue et de mettre la voiture dans le mur. Le gauche du Pont Oscar avant l’épingle n’est pas simple.
L’enchaînement gauche-droite du Parc Beaumont à pleine vitesse, il faut quand même oser y aller ! Derrière, le virage Foch avec deux roues en l’air, c’est aussi beau à voir depuis l’intérieur de la voiture que de l’extérieur... Le petit goulet qui suit pour attaquer la descente, je n’en parle même pas ! Tout est compliqué et impressionnant.
Avec la Hyundai Veloster N 100 % électrique de l’ETCR, la Coupe du Monde FIA de eTouring Car, les « battles » promettent beaucoup de plaisir et d’adrénaline car l’an passé, grâce aux différentes stratégies et au surcroit de puissance temporaire du push to pass pour doubler, nous avons toujours assisté à des courses excitantes. Ce sera la même chose à Pau. Même sur ce circuit en ville, il y aura clairement des zones possibles de dépassement du fait de la réglementation technique. Les manches risquent d’être chaudes.
Plus encore qu’en Coupe du monde des voitures de tourisme du WTCR ! Ces nouveaux modèles 100% électriques et donc zéro émission à l’échappement sont vraiment plaisants à piloter. D’abord, ce sont des propulsions (roues arrière motrices), ce que les pilotes préfèrent par rapport à une traction à l’avant.
Et quand on met toute la puissance (environ 670 chevaux), les sensations à l’accélération sont tout bonnement incroyables. Pour un pilote de référence en GT qui n’est pas habitué, cela peut même faire peur au début. L’auto est un peu lourde (1800 kilos) et avec nos pneus retaillés, on manque encore un peu d’adhérence et de confiance sur les freinages mais les performances pures sont complètement ouf !
Parfois dans la voiture, je me marrais tout seul sous mon casque l’an passé, tellement je me faisais plaisir au volant. Même quand je ne gagnais pas, c’était des courses sympas à vivre ! »