Grosse déception pour le démarrage du nouveau format du GT Tour mêlant à la fois les prototypes LMP3 et les GT. Seulement 9 engagés au moment des premiers essais puis 8 voitures en piste en fonction des aléas de la compétition. L'histoire retiendra que l'équipage Sancinena, Simonet, Dumez ont remporté la première épreuve du championnat français prototype et ont même réalisé le doublé en remportant la seconde course.
En GT, dimanche, le trio Ayari, Tardif, Pasquali s'offre la victoire dans une course disputée en 2 temps. Lundi, Santamato, Lamic et Brandela prennent leur revanche en s'imposant après avoir manqué la course 1 pour problème moteur.
En GT, dimanche, le trio Ayari, Tardif, Pasquali s'offre la victoire dans une course disputée en 2 temps. Lundi, Santamato, Lamic et Brandela prennent leur revanche en s'imposant après avoir manqué la course 1 pour problème moteur.
Championnat de France prototype : Double victoire de Duqueine Engineering
Avec seulement 4 LMP3 au départ, la déception est grande pour le démarrage du championnat de France. Toutefois, les prototypes sont prometteurs dans leurs vitesses et leurs fonctionnements et les équipages ont pu se régaler à leurs volants.
C'est donc un avant goût des 24 heures du Mans que les spectateurs ont pu voir à défaut d'un vrai championnat de France.
Passé la désillusion, les compétiteurs ont quand même fait le job et la victoire n'était pas fournie sur un plateau.
Dans la course 1, Degremont montre sa pointe de vitesse alors que son proto n'était pas le mieux placé sur la grille. C'est ensuite un moment fort pour Nelson Panciatici mais celui-ci échouera à la 3e place. La victoire est revenue à Simonet, Dumez et Sancinena.
Dans la course 2, Panciatici aligne les tours rapides en tête du classement avant de devoir renoncer sur casse de la transmission. Gommendy prend le commandement devant Beltoise et Dumez qui suivent son rythme.
Au rythme des ravitaillements, Degremont se retrouve alors en position de second et tente de chasser la victoire face à Simonet. Ce dernier résiste bien et passe la ligne en vainqueur pour la 2e fois du week-end. La 3e place est attribuée à Beltoise, Borga et Haezebrouck.
C'est donc un avant goût des 24 heures du Mans que les spectateurs ont pu voir à défaut d'un vrai championnat de France.
Passé la désillusion, les compétiteurs ont quand même fait le job et la victoire n'était pas fournie sur un plateau.
Dans la course 1, Degremont montre sa pointe de vitesse alors que son proto n'était pas le mieux placé sur la grille. C'est ensuite un moment fort pour Nelson Panciatici mais celui-ci échouera à la 3e place. La victoire est revenue à Simonet, Dumez et Sancinena.
Dans la course 2, Panciatici aligne les tours rapides en tête du classement avant de devoir renoncer sur casse de la transmission. Gommendy prend le commandement devant Beltoise et Dumez qui suivent son rythme.
Au rythme des ravitaillements, Degremont se retrouve alors en position de second et tente de chasser la victoire face à Simonet. Ce dernier résiste bien et passe la ligne en vainqueur pour la 2e fois du week-end. La 3e place est attribuée à Beltoise, Borga et Haezebrouck.
Pierre Sancenina :
« On repart de ce premier week-end en leader du classement général, on ne peut pas être plus heureux ! On ne s'attendait pas à performer comme ça, mais notre équipe Duqueine Engineering a vraiment fait du super travail ! Cela nous a permis d'obtenir ces deux victoires ! »
Valentin Simonet :
« On est arrivés sur le circuit sans connaître la voiture et on s'est dit que ça allait être une grande séance d'essai pour nous. Petit à petit, on a réussi à mettre du rythme ! En plus de cela, l'équipe nous a fourni une super voiture facile à conduire. On s'est bien adaptés, et notre homogénéité pendant les courses, associée à aucune erreur, nous a permis de remporter les deux victoires ! On ne pouvait pas faire mieux ! »
Sébastien Dumez :
« On va continuer sur cette lancée et travailler car il y a encore des choses à améliorer, à la fois sur la voiture et sur notre pilotage. Notre équipe est très homogène, il y a eu très peu d'écart de temps entre nous et c'est très important ! C'est un travail de longue haleine, on va continuer à beaucoup échanger afin de pouvoir progresser tous ensemble. »
GT FFSA : Loin du compte
Fini les belles années du GT en France, le nouveau format de course n'a pas séduit pour la première épreuve du GT Tour. Avec 5 Ferrari au départ, la 458 Italia était le choix des équipes pour cette première épreuve à Nogaro. C'est donc sur un même niveau de performances que l'on peut comparer les temps au tour.
En qualification 1, la pole a été obtenue par le trio Pasquali, Ayari et Tardif. En course, une Ferrari manque à l'appel avec le forfait de la numéro 30 de Brandela, Lamic et Santamato, leur moteur a rendu l'âme. La compétition est marquée par un terrible crash de Sacha Bottemanne qui est impliqué dans un accident avec Mouez. La course est interrompue au drapeau rouge, le temps de dégager l'épave de la numéro 17 qui s'est pulvérisé contre le mur.
Alors en tête, la numéro 5 de Christian Bottemanne, Lonni Martins et Christophe Hamon ne peut repartir à cause d'un incident lié aux débris sur la piste. Une trentaine de minutes permettra ensuite à Laurent Pasquali, Nicolas Tardif et Soheil Ayari de s'imposer devant Sylvain Debs, David Loger et Eric Mouez.
Dans cette course on aura également vu Nicolas Misslin raté l'entrée de la pitlane et faire un demi-tour pour le moins....inattendu.
Dans la seconde manche du week-end, un beau duel a lieu d'entrée de jeu avec un mano à mano entre Ayari et Santamato. Ayari résiste longtemps et conserve son leadership jusqu'au premier ravitaillement. Santamato passe le volant à Lamic mais l'équipe est pénalisée pour non respect du temps imparti dans les stands. Lamic devra donc s'employer à reprendre le commandement face à Tardif.
Le dernier relais sera assuré par Romain Brandela qui amène sa Ferrari jusqu'à la victoire. Une belle revanche sur la veille compte-tenu de leur forfait. Laurent Pasquali aura tout tenté mais il échoue, avec Soheil Ayari et Nicolas Tardif, à moins d'une seconde d'une deuxième victoire consécutive. Eric Mouez et David Loger montent quant à eux sur la troisième marche d'un podium 100% CMR by Sport Garage.
En qualification 1, la pole a été obtenue par le trio Pasquali, Ayari et Tardif. En course, une Ferrari manque à l'appel avec le forfait de la numéro 30 de Brandela, Lamic et Santamato, leur moteur a rendu l'âme. La compétition est marquée par un terrible crash de Sacha Bottemanne qui est impliqué dans un accident avec Mouez. La course est interrompue au drapeau rouge, le temps de dégager l'épave de la numéro 17 qui s'est pulvérisé contre le mur.
Alors en tête, la numéro 5 de Christian Bottemanne, Lonni Martins et Christophe Hamon ne peut repartir à cause d'un incident lié aux débris sur la piste. Une trentaine de minutes permettra ensuite à Laurent Pasquali, Nicolas Tardif et Soheil Ayari de s'imposer devant Sylvain Debs, David Loger et Eric Mouez.
Dans cette course on aura également vu Nicolas Misslin raté l'entrée de la pitlane et faire un demi-tour pour le moins....inattendu.
Dans la seconde manche du week-end, un beau duel a lieu d'entrée de jeu avec un mano à mano entre Ayari et Santamato. Ayari résiste longtemps et conserve son leadership jusqu'au premier ravitaillement. Santamato passe le volant à Lamic mais l'équipe est pénalisée pour non respect du temps imparti dans les stands. Lamic devra donc s'employer à reprendre le commandement face à Tardif.
Le dernier relais sera assuré par Romain Brandela qui amène sa Ferrari jusqu'à la victoire. Une belle revanche sur la veille compte-tenu de leur forfait. Laurent Pasquali aura tout tenté mais il échoue, avec Soheil Ayari et Nicolas Tardif, à moins d'une seconde d'une deuxième victoire consécutive. Eric Mouez et David Loger montent quant à eux sur la troisième marche d'un podium 100% CMR by Sport Garage.
Soheil Ayari, vainqueur de la course 1 :
« Pour nous ça été très limpide car nous sommes partis en pole. Mes coéquipiers ont fait un super boulot avant moi. J'étais le troisième à prendre le relai, Laurent est parti en tête avant de rendre la voiture second. On ressort des stands avec Nicolas qui fait un gros écart avec la voiture de derrière.
Ensuite, il y a eu le crash au moment des changements de pilotes. Je suis reparti juste après sous le régime du safety car. L'écart avait déjà été creusé par mes coéquipiers, j'ai donc juste eu à rouler dans un temps correct sans trop fatiguer la voiture. L'équipe a fait un super boulot ! »
Romain Brandela, vainqueur de la course 2 :
« Mon relais n'a pas été le plus facile car on a eu une pénalité en course ! Ça a été un peu compliqué de revenir mais je savais que Laurent était 8 secondes derrière moi, et j'avais calculé qu'en 1'27, il allait avoir du mal à remonter.
J'ai donc géré au mieux en regardant dans mes rétros car je n'avais pas de radio. Je savais que j'en avais sous le coude au cas où, mais on a pu gérer, et c'était bien que ça s'arrête à ce moment-là ! »
Terrible crash de Sacha Bottemanne
La course 1 a été marquée par le terrible crash de Sacha Bottemanne qui tape le mur devant les stands de façon violente après avoir eu du mal à doubler Mouez durant plusieurs centaines de mètres. La course a été interrompue mais fort heureusement le pilote s'en est sortie sans trop de mal.