Déjà vainqueur l'an passé pour l'édition du Centenaire des 24 heures du Mans, Ferrari a remporté une nouvelle victoire en s'imposant en Hypercar devant Toyota et Porsche.
Devant une affluence record de plus de 320 000 spectateurs, la 499P numéro 50 de l'équipe officielle Ferrari – AF Corse a franchi en premier le drapeau à damier après 311 tours de course marqué par la météo.
La victoire revient au trio Nicklas Nielsen, Miguel Molina et Antonio Fuoco.
Ferrari et AF Corse placent également leur 2e Hypercar à la troisième place du podium avec Alessandro Pier Guidi, James Calado et Antonio Giovinazzi qui étaient les vainqueurs l'an dernier. Toyota a pris la seconde place avec Lopez, Kobayashi et De Vries.
En LMP2, l'équipe Autosport United s'est imposée avec Oliver Jarvis, Nolan Siegel et Bijoy Garg.
Dans la nouvelle catégorie GT3, Porsche assure le succès avec l'écurie Manthey EMA et son trio Richard Lietz, Morris Schuring et Yasser Shahin.
Avec les 50 points de la victoire, Ferrari est désormais deuxième au classement Constructeurs, neuf points derrière Porsche. Fuoco, Molina et Nielsen sont deuxièmes au classement des Pilotes à neuf points des leaders.
Devant une affluence record de plus de 320 000 spectateurs, la 499P numéro 50 de l'équipe officielle Ferrari – AF Corse a franchi en premier le drapeau à damier après 311 tours de course marqué par la météo.
La victoire revient au trio Nicklas Nielsen, Miguel Molina et Antonio Fuoco.
Ferrari et AF Corse placent également leur 2e Hypercar à la troisième place du podium avec Alessandro Pier Guidi, James Calado et Antonio Giovinazzi qui étaient les vainqueurs l'an dernier. Toyota a pris la seconde place avec Lopez, Kobayashi et De Vries.
En LMP2, l'équipe Autosport United s'est imposée avec Oliver Jarvis, Nolan Siegel et Bijoy Garg.
Dans la nouvelle catégorie GT3, Porsche assure le succès avec l'écurie Manthey EMA et son trio Richard Lietz, Morris Schuring et Yasser Shahin.
Avec les 50 points de la victoire, Ferrari est désormais deuxième au classement Constructeurs, neuf points derrière Porsche. Fuoco, Molina et Nielsen sont deuxièmes au classement des Pilotes à neuf points des leaders.
Pole "Estremement" Porsche
Au moins un français a fait briller les couleurs tricolores au Mans le weekend dernier. En effet, Kévin Estre a signé le meilleur temps de l'Hyperpole des 24 Heures du Mans, jeudi soir, au volant de la Porsche Penske n°6. Il a devancé 2 Cadillac et suivaient les 2 Hypercars Ferrari.
Kévin Estre a sorti un tour d'anthologie signant un chrono de 3:24.634.
Kévin Estre a sorti un tour d'anthologie signant un chrono de 3:24.634.
Kévin Estre (Porsche 963 #6) : " C’est un sentiment indescriptible d’être en pole position au Mans. L’équipe a mis une méga voiture sur la piste pour moi. Les choses sont devenues vraiment stressantes à la fin. Il n’y avait que juste assez de temps au chronomètre pour deux tours chauds et la voiture était presque à court de carburant.
Mais c’était très amusant de conduire la Porsche 963 avec les pneus dans la fenêtre de fonctionnement idéale. Je suis simplement resté sur l’accélérateur et j’ai réussi le tour.
Je suis tellement fier de la pole et du travail incroyable de toute l’équipe au cours des derniers mois. Maintenant, nous pouvons commencer la plus grande course du monde de l’avant ! "
Zidane le starter
C'est le célèbre champion du monde Foot français, Zinédine Zidane, qui a donné officiellement le coup d'envoi de cette 92e édition. Zidane a été impressionné comme tout le monde par cette course et a brillamment lancé les hostilités pour les 24 heures de la compétition.
Le départ est donc donné à 16h pour l'ensemble des 60 concurrents. Cette année nous avons un plateau exceptionnel de 23 Hypercars au départ.
Le départ est donc donné à 16h pour l'ensemble des 60 concurrents. Cette année nous avons un plateau exceptionnel de 23 Hypercars au départ.
Duel Porsche Ferrari pour commencer
Avec une Porsche en pole, la première heure est surtout un duel entre la marque allemande et les Ferrari qui se sont replacées aux avant-postes.
Troisième sur la grille, Nielsen sur la Ferrari #50 s'installe en deuxième position dès le premier virage puiss passe le premier tour en tête.
Pendant les 2 premières heures Ferrari et Porsche ont fait le rythme de course. L'écart sur la troisième voiture, la Porsche numéro 5, était de 27 secondes pour Nielsen et de 25 secondes pour Kubica.
La météo rentrait rapidement en ligne de compte avec une averse une heure et demie après le départ mouillant partiellement la piste.
À ce moment-là, les voitures 50 et 83 ont continué en pneus secs, tandis que la numéro 51 est passée en pneus pluie. La première stratégie s’est avérée la plus efficace.
La BMW M Hybrid V8 Art Car n°20 s'était également frayé un chemin dans le top dix depuis la 16e place sur la grille lorsque Robin Frijns (NED) a perdu le contrôle et s'est écrasé contre les barrières de pneus.
Les 2 Alpine ont abandonné trop rapidement avec des pépins techniques. La #35 abandonnait dans un panache de fumée et la #36 dans les stands.
Troisième sur la grille, Nielsen sur la Ferrari #50 s'installe en deuxième position dès le premier virage puiss passe le premier tour en tête.
Pendant les 2 premières heures Ferrari et Porsche ont fait le rythme de course. L'écart sur la troisième voiture, la Porsche numéro 5, était de 27 secondes pour Nielsen et de 25 secondes pour Kubica.
La météo rentrait rapidement en ligne de compte avec une averse une heure et demie après le départ mouillant partiellement la piste.
À ce moment-là, les voitures 50 et 83 ont continué en pneus secs, tandis que la numéro 51 est passée en pneus pluie. La première stratégie s’est avérée la plus efficace.
La BMW M Hybrid V8 Art Car n°20 s'était également frayé un chemin dans le top dix depuis la 16e place sur la grille lorsque Robin Frijns (NED) a perdu le contrôle et s'est écrasé contre les barrières de pneus.
Les 2 Alpine ont abandonné trop rapidement avec des pépins techniques. La #35 abandonnait dans un panache de fumée et la #36 dans les stands.
La pluie comme arbitre
La pluie a été un élément important de l'épreuve et particulièrement durant la nuit avec une longue période de neutralisation de la course.
Mais tout au long de l'épreuve, la météo défavorable aura posé bien des problèmes et aura aussi permis des stratégies décalées.
La BMW M Hybrid V8 n°15, qui avait atteint l'Hyperpole grâce au meilleur temps de qualification de Dries Vanthoor (BEL), a abandonné après un grave accident samedi soir.
Vanthoor a été poussé hors de la piste par une Ferrari à environ 300 km/h dans la ligne droite et a heurté durement la barrière de la piste.
La nuit a connu plus de quatre heures d’intervention continue de la voiture de sécurité en raison de fortes pluies sur la moitié de la distance.
En début de matinée, la Porsche n°4, avec le Brésilien Felipe Nasr au volant, a tapé les protections de pneus près des virages d’Indianapolis, et a abandonné.
L'Aston Martin n°27 GT3 connaissait également une grosse mésaventure avec un tonneau à la clé.
D’autres averses à environ deux heures de la fin et aussi à la fin de l'épreuve ont encore densifier la lutte pour la victoire finale.
Mais tout au long de l'épreuve, la météo défavorable aura posé bien des problèmes et aura aussi permis des stratégies décalées.
La BMW M Hybrid V8 n°15, qui avait atteint l'Hyperpole grâce au meilleur temps de qualification de Dries Vanthoor (BEL), a abandonné après un grave accident samedi soir.
Vanthoor a été poussé hors de la piste par une Ferrari à environ 300 km/h dans la ligne droite et a heurté durement la barrière de la piste.
La nuit a connu plus de quatre heures d’intervention continue de la voiture de sécurité en raison de fortes pluies sur la moitié de la distance.
En début de matinée, la Porsche n°4, avec le Brésilien Felipe Nasr au volant, a tapé les protections de pneus près des virages d’Indianapolis, et a abandonné.
L'Aston Martin n°27 GT3 connaissait également une grosse mésaventure avec un tonneau à la clé.
D’autres averses à environ deux heures de la fin et aussi à la fin de l'épreuve ont encore densifier la lutte pour la victoire finale.
Cadillac en joker
A 3 heures de l'arrivée, Cadillac jouait sa carte en montrant son bout de nez grâce à leur stratégie. Mais le classement évoluait encore ensuite. Un sprint final superbe à suivre.
Quatre constructeurs pouvaient encore viser la victoire !
On voyait déjà en début d'épreuve la Cadillac n°3 faire du hors piste impressionnant.
Dimanche matin la Cadillac n°2 était en tête avec une stratégie décalée. En revanche, la n°311, est sortie de la piste à Indianapolis avec Pipo Derani à son bord.
A ce moment là, la Cadillac n°2 devance la Ferrari n°50, la Toyota n°8 et la Porsche Penske n°6. La Ferrari n°51 complète alors le top 5.
Quatre constructeurs pouvaient encore viser la victoire !
On voyait déjà en début d'épreuve la Cadillac n°3 faire du hors piste impressionnant.
Dimanche matin la Cadillac n°2 était en tête avec une stratégie décalée. En revanche, la n°311, est sortie de la piste à Indianapolis avec Pipo Derani à son bord.
A ce moment là, la Cadillac n°2 devance la Ferrari n°50, la Toyota n°8 et la Porsche Penske n°6. La Ferrari n°51 complète alors le top 5.
Toyota dans la danse
Toyota a lutté pour la victoire (Photo Toyota)
Toyota a visé la victoire jusqu'au bout malgré la météo.
Les champions du monde ont surmonté l'adversité pour se battre pour les honneurs, se remettant d'une qualification difficile pour relever le défi d'un peloton d'Hypercar ultra-compétitif.
José María López, Kamui Kobayashi et Nyck de Vries se sont courageusement battus pour la victoire au volant de leur GR010 HYBRID n°7 avant les dernières spéciales, mais n'ont pas réussi à réaliser une remontée remarquable. Ils ont terminé deuxièmes avec seulement 14,221 secondes après 311 tours spectaculaires, bien qu'ils soient partis de la 23e place.
Sébastien Buemi, Brendon Hartley et Ryo Hirakawa ont mené la course à un moment mais se sont vu refuser toute chance de victoire lorsque leur GR010 HYBRID n°8 a été poussée en tête-à-queue à deux heures de la fin. Les champions du monde en titre ont finalement terminé cinquièmes.
La n°8 a mené la course de la neuvième à la 18e heure suite à la solide performance de Ryo sous la pluie, perdant le classement uniquement en raison de stratégies d'arrêt aux stands différentes, tandis que la n°7 occupait la troisième place.
Après une voiture de sécurité de la 19e heure, les sept premiers n'étaient couverts que par quatre secondes alors que l'action s'intensifiait.
Les espoirs de Toyota se donc reposé sur la n°7 et José Maria Lopez, dont le rythme fulgurant avait déjà récupéré un temps conséquent suite à deux crevaisons précédentes. Il maintient la pression et dépasse la Ferrari n°51 pour la deuxième place avant de prendre la tête dans les deux dernières heures.
Mais la n°7 avait encore besoin d'un ravitaillement et José entamait les 30 dernières minutes avec 40 secondes de retard. Dans un premier temps, il a réduit l'écart, mais les tours s'écoulant, la tâche s'est avérée insurmontable. José a ramené la n°7 à la deuxième place derrière la Ferrari n°50 victorieuse, et Sébastien a pris le relais quelques instants plus tard en cinquième position.
Les champions du monde ont surmonté l'adversité pour se battre pour les honneurs, se remettant d'une qualification difficile pour relever le défi d'un peloton d'Hypercar ultra-compétitif.
José María López, Kamui Kobayashi et Nyck de Vries se sont courageusement battus pour la victoire au volant de leur GR010 HYBRID n°7 avant les dernières spéciales, mais n'ont pas réussi à réaliser une remontée remarquable. Ils ont terminé deuxièmes avec seulement 14,221 secondes après 311 tours spectaculaires, bien qu'ils soient partis de la 23e place.
Sébastien Buemi, Brendon Hartley et Ryo Hirakawa ont mené la course à un moment mais se sont vu refuser toute chance de victoire lorsque leur GR010 HYBRID n°8 a été poussée en tête-à-queue à deux heures de la fin. Les champions du monde en titre ont finalement terminé cinquièmes.
La n°8 a mené la course de la neuvième à la 18e heure suite à la solide performance de Ryo sous la pluie, perdant le classement uniquement en raison de stratégies d'arrêt aux stands différentes, tandis que la n°7 occupait la troisième place.
Après une voiture de sécurité de la 19e heure, les sept premiers n'étaient couverts que par quatre secondes alors que l'action s'intensifiait.
Les espoirs de Toyota se donc reposé sur la n°7 et José Maria Lopez, dont le rythme fulgurant avait déjà récupéré un temps conséquent suite à deux crevaisons précédentes. Il maintient la pression et dépasse la Ferrari n°51 pour la deuxième place avant de prendre la tête dans les deux dernières heures.
Mais la n°7 avait encore besoin d'un ravitaillement et José entamait les 30 dernières minutes avec 40 secondes de retard. Dans un premier temps, il a réduit l'écart, mais les tours s'écoulant, la tâche s'est avérée insurmontable. José a ramené la n°7 à la deuxième place derrière la Ferrari n°50 victorieuse, et Sébastien a pris le relais quelques instants plus tard en cinquième position.
Kamui Kobayashi (Team Principal et pilote, voiture n°7) : « Évidemment, c'était une course très difficile pour nous. Nous aurions pu gagner mais nous avons eu quelques problèmes. Les 24 heures n'ont pas été faciles pour la voiture n°7, mais toute l'équipe a fait un excellent travail tout au long d'une semaine très difficile. Ce fut une course phénoménale de 24 heures, où tous les constructeurs se sont battus sans arrêt.
Tout le monde veut gagner cette course et nous étions très proches. Une arrivée aussi serrée nous donne envie de revenir plus forts l’année prochaine et nous ferons de notre mieux pour y parvenir. Merci pour tout le soutien et le travail acharné de TOYOTA GAZOO Racing au Japon et en Allemagne.
Merci encore une fois à Morizo san également. Il nous a beaucoup soutenu depuis que nous avons appris la blessure de Mike et tout au long de la semaine. Nous nous battons avec Morizo san au sein de TOYOTA GAZOO Racing et nous deviendrons forts l'année prochaine.
José María López (pilote, voiture n°7) :"Je tiens à remercier tous les membres de l'équipe au Japon et à Cologne pour leur travail acharné et la confiance dont ils ont fait preuve en me donnant cette chance. Merci à Kamui et Nyck, qui ont fait un travail incroyable, tout comme les mécaniciens et les ingénieurs. Ce fut une montagne russe d'émotions pour moi, à partir d'il y a 10 jours lorsque Mike s'est blessé et que j'ai pris sa place.
J'étais heureux d'être ici mais aussi triste pour lui. Ensuite, la course a été tout simplement la plus difficile que j'ai jamais vécue, avec la météo, le fait de devoir partir du dernier et de perdre du temps à cause des zones lentes, des crevaisons et d'autres problèmes. Nous avons toujours réussi à revenir et nous avons montré notre fort esprit. Je suis fier de tout le monde pour cela. C'est une journée émouvante pour moi car je ne sais pas quand j'aurai une autre chance de concourir pour la victoire au classement général."
Nyck de Vries (Pilote voiture n°7) : " Tout d'abord, je tiens à remercier Séb, Brendon et toute l'équipe pour leur travail sans relâche et leurs efforts considérables au cours de ces 24 Heures du Mans extrêmement difficiles. C'était une course incroyable, avec une compétition si serrée dans des conditions aussi difficiles. C’est comme si nous étions si près et si loin d’atteindre notre objectif. Néanmoins, ce fut une belle performance de la part de toute l’équipe et nous avons terminé sur le podium, ce qui est un moment spécial pour mon premier Mans avec TOYOTA GAZOO Racing."
Ferrari pour conclure un sprint Hypercar dément
Ferrari a donc gagné le duel final avec Toyota et Porsche. C'est la 11e victoire du cheval cabré avec celles de l'an passé et des années 1949, 1954, 1958 et 1960 à 1965.
Yifei Ye et Robert Shwartzman, aux côtés de Robert Kubica, a longtemps été sous le feu des projecteurs. Elle a occupé la première place pendant 83 tours au total, mais a dû abandonner après 248 tours avec des freins en feu.
C'est du coté de la #50 et de la #51 qu'on a visé la victoire avec finalement la 50 qui a pris sa revanche sur l'année passée.
Yifei Ye et Robert Shwartzman, aux côtés de Robert Kubica, a longtemps été sous le feu des projecteurs. Elle a occupé la première place pendant 83 tours au total, mais a dû abandonner après 248 tours avec des freins en feu.
C'est du coté de la #50 et de la #51 qu'on a visé la victoire avec finalement la 50 qui a pris sa revanche sur l'année passée.
Nicklas Nielsen, un des vainqueurs : " J'ai rêvé de ça toute ma vie. Je suis très fier de pouvoir maintenant le faire moi-même. J'avoue que j'ai pleuré à l'intérieur du casque après le drapeau à damier. Je suis à la fois extrêmement heureux et incroyablement soulagé. Gagner la course de 24 heures au Mans a été le but de ma carrière. C'est surréaliste."
LMP2 : United Autosports bat Inter Europol
16 LMP2 auront aussi animé la course des 24h du Mans. Jusqu'au bout la victoire a été à suspense et elle est finalement revenue à United Autosports. C'est leur seconde victoire au Mans.
Seulement 18 secondes séparent les 2 premiers à l'arrivée pour illustrer cette bataille jusqu'au boutiste. Les 5 premiers du LMP2 se tiennent en moins d'une minute.
Oliver Jarvis a été l'un des 3 artisans de la victoire mais il était aussi assisté du jeune Nolan Siegel et de Bijoy Garg.
Vainqueurs en 2023, Inter Europol Competition manque de peu la victoire avec Clément Novalak, Kuba Smiechowski et Vladislav Lomko. Ils terminent à la seconde place.
Le podium est finalisé par IDEC Sport avec Job van Uitert, Paul Lafargue et Reshad de Gerus.
Seulement 18 secondes séparent les 2 premiers à l'arrivée pour illustrer cette bataille jusqu'au boutiste. Les 5 premiers du LMP2 se tiennent en moins d'une minute.
Oliver Jarvis a été l'un des 3 artisans de la victoire mais il était aussi assisté du jeune Nolan Siegel et de Bijoy Garg.
Vainqueurs en 2023, Inter Europol Competition manque de peu la victoire avec Clément Novalak, Kuba Smiechowski et Vladislav Lomko. Ils terminent à la seconde place.
Le podium est finalisé par IDEC Sport avec Job van Uitert, Paul Lafargue et Reshad de Gerus.
Oliver Jarvis : " Quelle course ! C'est mon 13e Mans et aucun n'a été aussi dur – c'était une pression insensée. Les conditions de piste changeaient constamment – c'était difficile pour les pilotes, les équipes et les spectateurs. Nous avons fait une course vraiment solide, nous sommes restés à l’écart des ennuis et, surtout, sommes restés dans le tour. Même lorsque nous étions en tête, je n'ai cru que nous avions gagné jusqu'à la moitié de mon dernier relais. Mes copilotes faisaient leurs débuts au Mans et ils repartent vainqueurs."
GT3 : Porsche au rendez-vous
Les 23 GT3 ont également donné un beau spectacle avec de multiples constructeurs prêts à devenir le premier à inscrire son nom dans cette nouvelle catégorie au Mans.
Porsche a réussi à s'imposer avec les pilotes d’usine Richard Lietz, Morris Schuring et Yasser Shahin au volant de la Porsche 911 GT3 R de Manthey EMA.
Sans avoir connu de problèmes majeurs, ils ont gagné la catégorie avec 1 tour d'avance sur la BMW M3 d'Augusto Farfus (BRA), Sean Gelael (INA) et Darren Leung (GBR) du Team WRT.
En revanche, l'autre Porsche du Manthey PureRxcing, qui avait mené la première moitié de la course, a connu des problèmes techniques et a terminé au delà du top 10.
Porsche a réussi à s'imposer avec les pilotes d’usine Richard Lietz, Morris Schuring et Yasser Shahin au volant de la Porsche 911 GT3 R de Manthey EMA.
Sans avoir connu de problèmes majeurs, ils ont gagné la catégorie avec 1 tour d'avance sur la BMW M3 d'Augusto Farfus (BRA), Sean Gelael (INA) et Darren Leung (GBR) du Team WRT.
En revanche, l'autre Porsche du Manthey PureRxcing, qui avait mené la première moitié de la course, a connu des problèmes techniques et a terminé au delà du top 10.
Sebastian Golz, chef de projet Porsche 911 GT3 R : " Être le premier constructeur à gagner au Mans avec une voiture de course GT3 est une histoire unique que personne ne peut nous enlever. C’est un chapitre que nous avons écrit en collaboration avec tous nos collègues de Weissach. C’était un nouveau défi pour nous.Proton Compétition ont placé 2 Mustang aux 3e et 4e places finales. Olsen, Pedersen et Roda prennent la 3e place du podium GT3 au volant de la #88.
Félicitations à l’équipe de Manthey EMA, également, le travail d’équipe s’est déroulé à merveille. Maintenant, il est temps d’aller chercher le titre de champion du monde."
Résultats
1. Fuoco/Molina/Nielsen (I/E/DK), Ferrari #50, 311 tours
2. De Vries/Kobayashi/Lopez (NL/J/ARG), Toyota #7, -14.221 secondes
3. Calado/Giovinazzi/Pier Guidi (UK/I/I), Ferrari #51, -36.730 secondes
4. Estre/Lotterer/Vanthoor (F/D/B), Porsche 963 #6, -37.897 secondes
6. Campbell/Christensen/Makowiecki (AUS/DK/F), Porsche 963 #5, -1:45.654 minutes
7. Palou/Bamber/Lynn Cadillac (ESP/AUS/UK), Cadillac #2, 2.34.468 minutes
8. Ilott/Nato/Stevens (UK/F/UK), Porsche 963 #12, 311 tours, -3:02.691 minutes
9. Button/Hanson/Rasmussen (UK/UK/DK), Porsche 963 #38, -3:36.756 minutes
Résultats complets : https://24h-lemans.tv/page/6655a2c4d9988d6eb74a8e17
2. De Vries/Kobayashi/Lopez (NL/J/ARG), Toyota #7, -14.221 secondes
3. Calado/Giovinazzi/Pier Guidi (UK/I/I), Ferrari #51, -36.730 secondes
4. Estre/Lotterer/Vanthoor (F/D/B), Porsche 963 #6, -37.897 secondes
6. Campbell/Christensen/Makowiecki (AUS/DK/F), Porsche 963 #5, -1:45.654 minutes
7. Palou/Bamber/Lynn Cadillac (ESP/AUS/UK), Cadillac #2, 2.34.468 minutes
8. Ilott/Nato/Stevens (UK/F/UK), Porsche 963 #12, 311 tours, -3:02.691 minutes
9. Button/Hanson/Rasmussen (UK/UK/DK), Porsche 963 #38, -3:36.756 minutes
Résultats complets : https://24h-lemans.tv/page/6655a2c4d9988d6eb74a8e17